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Résistance et déportation : Cinq élèves du collège Saint-Julien de Malestroit primés au concours

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Les élèves primés: Matys Guyot, Yanis Noël, Anaïs Mahéas, Sara Benoït et Hortense Fanguimache avec, au second rang: Lenaïk Debruyne et Hervé Petit.

Les élèves primés à Malestroit : Matys Guyot, Yanis Noël, Anaïs Mahéas, Sara Benoït et Hortense Fanguimache avec, au second rang: Lenaïk Debruyne et Hervé Petit.

Vecteur essentiel de transmission de mémoire, le concours national de la Résistance et de la Déportation, institué en 1961, offre aux jeunes l’opportunité d’approfondir leurs connaissances sur les aspects fondamentaux de l‘histoire de la Seconde Guerre Mondiale.

461 élèves de collèges et lycées du Morbihan ont participé à cette édition 2019, dont 193 collégiens. Le thème de cette épreuve écrite était « Répression et déportation en France et en Europe de 1939 à 1945. Espaces et histoire »

Direction le concours national

Au collège Saint-Julien à Malestroit, huit jeunes en classe de troisième se sont lancés dans un travail individuel avec, pour quatre d’entre-eux, l’ajout d’un rendu collectif pour lequel ils ont travaillé tous les mercredis depuis le mois de janvier avec le soutien de leur professeure d’histoire, Lenaïk Debruyne.

« Ils se sont montrés engagés et motivés. Le sujet cette année était particulièrement vaste et compliqué. »

Le travail d’Anaïs Mahéas, 14 ans, a obtenu la seconde place sur 93. Son excellente copie a été remarquée par sa graphie, c’est donc exceptionnellement qu’elle accède au niveau national. Idem pour le travail collectif de Sara Benoît, Hortense Fanguimache, Matys Guyot et Yanis Noël ayant obtenu la seconde place mais qui, compte tenu de sa qualité, se retrouve également en concours national.

« Ils ont à présent les valeurs et connaissances ancrées dans leurs bagages, confirme Hervé Petit, directeur de l’établissement, par cet engagement citoyen ils savent quelles sont les limites à ne pas franchir pour garder la liberté de chacun. »

La préfecture du Morbihan à Vannes a réuni les lauréats, accueillis par Véronique Solère, directrice du cabinet du Préfet et de Françoise Favreau, directrice académique. Ils ont reçu des livres et des DVD. Lors de la cérémonie, Anaïs a eu l’honneur d’être porte-drapeau des déportés.

Une sortie est organisée pour 30 lauréats lycéens et collégiens à Châteaubriant le 27 mai où se déroulera une cérémonie officielle.


Un mariage breton à l'ancienne se prépare à Ploëzal

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Un mariage breton aura lieu le samedi 6 juillet.

Un mariage breton à l’ancienne aura lieu le samedi 6 juillet. Un véritable voyage dans le temps !

Les fêtes patronales de Saint-Pierre auront lieu début juillet à Ploëzal, près de Pontrieux. C’est dans ce cadre que le comité d’animation organiser un mariage breton à l’ancienne le samedi 6 juillet 2019. La fête aura lieu au bourg.

Cérémonie, cortège, repas…

Au programme des festivités, les jeunes mariés passeront devant monsieur le maire à 16 h. Puis suivra la traditionnelle photo de groupe.

Lire aussi : Pontrieux : le calendrier des travaux en centre-ville

Un cortège accompagné de sonneurs défilera dans le bourg. Pour poursuivre les festivités, un fest-deiz ainsi que diverses animations seront proposés. Et bien sûr pas de mariage sans le repas des mariés. « Tous à table pour un cochon grillé le soir ! », indique Claudine Monjaret, présidente du comité d’animation. La journée se terminera par un feu d’artifice et un fest-noz.

A la recherche de coiffes et costumes

Afin que ce mariage breton soit couronné de bonheur, le comité d’animation lance un appel :

« Nous recherchons des figurants motivés, des costumes homme et femme d’époque que ce soit des coiffes bretonnes pour les femmes, des chapeaux haut de forme pour les hommes, des casquettes… Toute personne intéressée pour participer à cette fête, ou qui possède des costumes et accessoires vestimentaires de l’époque est la bienvenue », poursuit Claudine Monjaret.

Toute personne intéressée pour aider le comité d’animation peut contacter le 06 88 01 58 63.

Relais trois au taf : une course entre collègues autour du lac de Labège

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Le Relais trois au taf invite à courir autour du lac de Labège entre collègues.

Le Relais trois au taf invite à courir autour du lac de Labège entre collègues.

Le Relais trois au taf (RTT) est un rendez-vous sportif pas comme les autres. En effet, cette course en relais est organisée pour les salariés des entreprises et collectivités locales. Collègues et collaborateurs s’inscrivent en équipe de trois. Il s’agit ensuite de courir autour du lac de Labège, à n’importe quelle allure, mais il faut toujours deux coureurs ensemble sur le parcours. Chaque participant doit parcourir au minimum un tour du lac (1,13 km).

Créée voilà deux ans, cette course est de plus en plus populaire selon le comité d’athlétisme de Haute-Garonne, organisateur du RTT, avec le soutien du Sicoval et de la mairie de Labège :

« En 2017, 28 entreprises se sont donné rendez-vous au Lac de Labège Innopole, mobilisant 210 salariés. Un an plus tard, 38 entreprises et 288 salariés ont participé à la deuxième édition de la course.

Le vendredi 24 mai 2019, pour la nouvelle édition, l’objectif est de franchir la barre des 300 coureurs.

Une promotion de l’activité sportive

Objectif du Relais trois au taf : la promotion de l’activité sportive régulière selon le comité d’athlétisme :

L’événement a pour but de donner le goût aux participants de la course à pied de loisir, avec l’ambition de promouvoir le sport comme synonyme de prévention. La pratique sportive régulière et encadrée améliore la santé physique : bouger contre le sédentarisme, lutter contre l’obésité, prévenir les différents troubles liés au travail et notamment les troubles musculosquelettiques. Aussi, une pratique sportive ludique en lien avec son cadre de travail favorise le bien-être au sein de son entreprise car la pratique en équipe et avec ses collègues encourage le dialogue et l’échange, facilite la cohésion des équipes et est une façon de lutter contre le stress qui peut amener au burn-out.

Djilali Bedrani et Jacques Oberti

Cette année, l’événement est parrainé par le président du Sicoval, Jacques Oberti, et par Djilali Bedrani, athlète international du Satuc, champion de France cet hiver de cross court et sur 3 000 mètres en salle, et quatrième aux championnats d’Europe à Glasgow sur cette même distance.

Modalité d’inscription

Les trois coureurs doivent s’inscrire sur le site internet de l’événement, scanner et envoyer les certificats médicaux de non-contre-indication à la pratique de la course à pied en compétition (ou athlétisme en compétition ou sport en compétition) datant de moins d’un an le jour de la course. Ces justificatifs sont obligatoires s’ils ne sont pas licenciés à la Fédération française d’athlétisme ou aux fédérations visées par le règlement.

Le tarif est fixé à 54 € par équipe (chèque à l’ordre du CDA31 à envoyer à CDA31, Maison des Sports, 190, rue Isatis, 31 670 Labège). La remise des récompenses aura lieu le mardi 4 juin 2019.

 

Infos pratiques : Le Relais trois au taf est organisé le vendredi 24 mai à 12 h. Un buffet froid avec des boissons attend les participants. Plus d’informations et inscriptions : www.relaistroisautaf.run. Les justificatifs sont à envoyer à athle31.rtt@gmail.com

Athlétisme. Maintien en N2 assuré avec la manière par l'Athlé Perche-Pays de L'Aigle-Mortagne

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Tous droits réservés

En déplacement à Saint-Lô (Manche) pour le deuxième tour des interclubs samedi 18 mai, les athlètes de l’Athé Perche-Pays de l’Aigle-Mortagne (Orne) ont largement rempli leur objectif de maintien. Avec 42 325 points, elle termine deuxième de sa poule de six. Son billet pour les prochains interclubs de la division sont assurés.

Lire aussi : Athlétisme. Première réussie aux interclubs pour l’Athlé Perche-Pays de L’Aigle-Mortagne

Les athlètes du club se sont imposés sur les 100m, 400m haies, 800m, 4x100m au disque et à la longueur chez les hommes, au javelot chez les femmes. La plupart des athlètes ayant amélioré leur performance du premier tour, ce résultat permet au club de se classer 10e meilleure formation normande.

Les résultats complets des athlètes de l’équipe

Femmes
100 mètres : Myriam Bousselma 14″72, Estelle Merai 15″21. 100m haies : Noémie Pouget 18″21, Manon Aumoitte disqualifiée. 200m : Lucie Créton 28″03, Charlène Champagne 30″36. 400m : Mélanie Huet 61″39, Barbara Martin 67″46. 400m haies : Lucie Huvey 71″43, Flavie Lurson 80″17. 800m : Mathilde Vallée 2’44″59, Nolwenn Rault 2’53″08. 1500m : Jessalyn Rivet-Tissot 5’23″51, Emma Brizard 5’39″17. 3000m : Eugénie Ponlève 10’57″46, Isabelle Plu 12’38″87. 3000m marche : Marie Blatrix 17’04″35, Sophie Aldebert 17’26″29. 4x100m : Noémie Pouget, Lucie Créton, Lucie Huvey et Charlène Champagne 54″46. 4x400m : Barbara Martin, Jessalyn Rivet-Tissot, Manon Aumoitte et Mélanie Huet 4’28″77. Hauteur : Lucie Créton 1,45m, Nolwenn Rault 1,45m. Perche : Emmy Lemesle 2,20m, Jessalyn Rivet-Tissot 2,00m. Longueur : Manon Aumoitte 5,21m, Mélanie Huet, 4,91m. Triple saut : Lucie Huvey 9,66m, Myriam Bousselma 9,61m. Poids : Barbara Martin 9,06m, Marianne André 7,11m. Disque : Emmy Lemesle 21,23m, Charlène Boudet 19,96m. Marteau : Isabelle Plu 16,04m, Élia Bourgault 15,06m. Javelot : Noémie Pouget 28,88m, Flavie Lurson 22,37m.

Hommes
100m : Guillaume Fleuter 11″19, Amadou Ouattara 11″60. 110m haies : Aristide Rivet-Tissot 17″61, Anthony Chartrain 18″30. 200m : Dorian Vavasseur 24″24, Loan Besnard 24″62. 400m : Mikaël Chartrain 49″61, Maelan Le Coze 55″33. 400m haies : Romain Lerine 61″74, Lohann Ledos 61″60. 800m : Pierre Lechat 1’52″28, Simon Dhooghe 1’59″62. 1500m : Théo Brodin 4’24″84, Joey Rousseau 4’35″31. 3000m : Matthias Brodin 9’12″61, Antoine Brodin 9’26″44. 3000m steeple : Quentin Le Guelvout 11’22″40, Thibaut Touroude 11’28″66. 5000m marche : Frédéric Andrieux 30’55″53, Yves Rivet 32’44″76. 4x100m : Amadou Ouattara, Guillaume Fleuter, Dorian Vavasseur et Anthony Chartrain 44’42″. 4x400m : Romain Lerine, Pierre Lechat, Simon Dhooghe et Mikaël Chartrain 3’26″64. Hauteur : Anthony Chartrain 1,75m, Lohann Ledos 1,70m. Perche : Aristide Rivet-Tissot 3,60m, Théo Brodin 3,40m. Longueur : Guillaume Fleuter 7,01m, Mikaël Chartrain 5,89m. Triple saut : Valentin Dumur : 11,82m, Antoine Grimoult 11,12m. Poids : Milan Vavasseur 11,20m, Régis Desplatz 9,50m. Disque : Hervé Belloc : 34,16m, Julien Reigner 30,31m. Marteau : Stéphane Robiche 24,51m, Michel Pouget 22,30m. Javelot : Valentin Dumur 38,82m, Amadou Ouattara 35,49m.

Football. Tous derrière le Lannion FC ce samedi 25 !

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Un nouveau clapping avec le public samedi soir ?

Un nouveau clapping avec le public samedi soir ? (©Le Trégor. Bernard Guilcher)

Stop ou encore ? Ce samedi 25, le Lannion FC joue son match le plus important de la saison. Les bleus ont une heure et demie pour assurer leur maintien en Nationale 3 face à Plabennec.
Une victoire et c’est dans la poche. Un nul, voire une défaite, et il faudra suivre de près le résultat du match US Montagnarde-Stade Pontivy, deux équipes qui jouent également leur avenir à ce niveau.

Kevin Bodin et ses coéquipiers, auteurs de belle remontada au classement depuis leur victoire 4-0 contre l‘US Montagnarde le 6 avril dernier, vont tout donner. Ils comptent sur l’appui du public.

Celui-ci avait poussé l’équipe lors de la victoire sur le fil contre Redon, 3-2 à la 96′ sur un contre de Cédric Moscou conclu par le U18 Antoine Le Goué.

« Le public y est pour quelque chose »

L’entraîneur Rémy Le Bourdoulous avait tenu à le remercier le public lors du point Presse après le match :

Depuis deux ans que je suis à Lannion, je n’avais jamais vu cela ! Les joueurs ont apprécié. Menés 2-0, ils sont revenus à 2-2 et sont allés chercher les 3 points. Le public y est pour quelque chose, c’est clair… »

Au Lannion FC, on espère un Stade René-Guillou bien plein et vivant. L’enjeu est de taille et il n’y aura pas d’autre match en concurrence dans le secteur, l‘EA Guingamp ayant terminé sa saison.

Alors : tous en bleu samedi ?

Sergent Garcia en tête d'affiche de l'édition 2019 du Bresstival

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BletteransBress'tivalSamedi 25 mai à 19 hau stade

Sergent Garcia se produira dans son propre style salsamuffin. © DR.

L’affiche se veut alléchante avec Sergent Garcia qui a à son actif plus de vingt ans de tournées.

Son style salsamuffin devrait faire l’adhésion du public.

À l’opposé géographique et musical, on suivra attentivement Mask Ha Gazh dont le rock celtique dégage une énergie positive et communicative.

Une place sera faite également aux jeunes talents locaux avec le groupe Stratipluck de Besançon formé au conservatoire régional.

Résolument rock progressif, il enflammera la scène et l’auditoire.

Enfin, le groupe Follow The Cheerleader, créé en 2015, s’est attaqué au pop-punk.

Avec son nouveau chanteur Travis, il régalera les fans.

Comme à l’accoutumée, un immense chapiteau couvrira l’événement tandis que buvette et restauration avec l’aide de l’Amicale des sapeurs-pompiers de Villevieux et l’École intercommunale de musique aideront à remplir, avec modération, les estomacs.

Une aire de camping est également prévue.

De notre correspondant Albert Wolff

Billets en vente sur wwwevent.com/bresstival-2019 et à Bletterans à la Cave de Bletterans, chez Carrolice. À Lons-le-Saunier au Café de la Mairie et à Voiteur au Victorien.

Pays de Châteaubriant : un appel à la vigilance après plusieurs cambriolages

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La compagnie de gendarmerie de Châteaubriant incite à population à être plus vigilante.

La compagnie de gendarmerie de Châteaubriant incite à population à être plus vigilante. (©illustration/DR)

Du jeudi 16 au jeudi 23 mai 2019, la compagnie de gendarmerie de Châteaubriant (Loire-Atlantique) a relevé 25 faits de cambriolages, vols ou tentatives de vols, dans la circonscription de Châteaubriant.

Un chiffre en forte hausse, puisque seuls neuf faits avaient été signalés la semaine précédente.

Les particuliers principales victimes

Dans la majorité des cas, ce sont des particuliers qui ont été touchés. Du numéraire, des télévisions, consoles, enceintes Bluetooth, bouteilles d’alcool et d’autres objets ont été dérobés.

Face à cette augmentation des cas, la gendarmerie lance « un appel à la prudence et à la vigilance auprès de la population. »

Ne laissez pas vos portes ou vos fenêtres ouvertes quand vous quittez votre domicile, même pour une durée très courte. »

Lire aussi : Près de Nantes, accro aux jeux de grattage, une employée d’un bar-tabac volait son patron

D-Day. Les hôtels de Vire Normandie pris d'assaut par les journalistes, les techniciens...

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Des journalistes français et étrangers seront hébergés dans les établissements du Bocage et du Pré-Bocage. ©Photo festivités du 65 anniversaire du Débarquement

Des journalistes français et étrangers seront hébergés dans les établissements du Bocage et du Pré-Bocage. ©Photo festivités du 65 anniversaire du Débarquement

Une agence hollandaise a réservé toutes les chambres de l’hôtel en octobre dernier pour une troupe de musiciens américains », explique Vincent Lochu, patron de l’Hôtel de France à Vire Normandie. Durant trois jours, les 5, 6 et 7 juin, l’établissement sera donc complet.

On aurait préféré que l’événement se déroule en février, mais on ne va pas retourner 75 ans en arrière pour changer la date du Débarquement », lance-t-il amusé.

Un constat que font les autres hôteliers du territoire qui comme lui travaillent bien à ce moment de l’année et doivent donc faire face à cette demande hors du commun.

Une équipe de TF1

À l‘hôtel Moderne de Vire qui n’est pas encore complet, le patron explique avoir reçu un questionnaire de la préfecture pour héberger des personnes d’un ministère. Lui a préféré conserver des chambres pour les touristes. Un choix que n’ont pas fait les autres comme le Campanile qui sera complet également les 4, 5 et 6 juin. Il accueillera une équipe de TF1 ainsi que des personnes du service Presse de l’Elysée. Les réservations ont été faites il y a quinze jours. Même constat à l’hôtel Saint-Pierre, l’hôtel sera complet les 5 et 6. Là encore, l’établissement virois hébergera des journalistes français mais aussi étrangers.

Lire aussi : Le Mémorial de Montormel bientôt prêt pour le 75e anniversaire de la bataille de Normandie

Un planning en ligne

À l‘office de tourisme du Bocage, un planning électronique a été mis en ligne à la demande de Calvados attractivité, afin de permettre aux hébergeurs de noter leurs réservations et répondre plus facilement aux demandes. Ainsi du 1er au 10 juin, il est possible de suivre l’évolution. Il semblerait qu’il reste encore des places dans les gîtes et chambres d’hôtes du Bocage.

« C’est complet depuis 1 an… »

Dans le Pré-Bocage, autant dire que la proximité des plages du Débarquement est porteuse. C’est là que les établissements sont les plus sollicités et surtout depuis longtemps. Le record revient à l’hôtel Au vieux puits à Villers-Bocage. Il est complet depuis 1 an, pour la période qui va du 2 au 10 juin. À cette période de l’année, la fréquentation est toujours plus importante, mais ce qui change cette année ce sont les réservations bouclées un an avant par une agence et si on ne sait pas précisément sur place quel est le lien entre les personnes accueillies et le 75e anniversaire du D-Day, on sait déjà que ce sont des Américains.

Lire aussi : 75e anniversaire du Débarquement. À Bayeux, la distribution de 6 000 stickers de circulation a débuté

Un flux jusqu’à l’été

Toujours à Villers-Bocage, l’hôtel Les trois rois est aussi complet depuis le mois de décembre dernier.

Nous avons refusé des demandes à foison », confirme la patronne, Mme Fournier qui s’apprête à accueillir des touristes américains, anglais et canadiens.

À Aunay-sur-Odon, l’Hôtel de la Place affiche complet le 6 juin. Chaque chambre sera occupée par une seule personne. Une demande explicite du service voyage de la RTBF (la Radio-Télévision belge).

Lire aussi : 75e D-Day : D’où viennent les 482 vétérans qui participeront aux commémorations ?


Alençon. Les usagers veulent se battre contre la fermeture du bureau de poste de Courteille

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Une quarantaine de personnes a assisté à cette réunion. Tous souhaitent conserver le bureau de poste en l’état. Mais les horaires d’ouverture, déjà restreints, seront-ils maintenus le cas échéant ?

Une quarantaine de personnes a assisté à cette réunion. Tous souhaitent conserver le bureau de poste en l’état. Mais les horaires d’ouverture, déjà restreints, seront-ils maintenus le cas échéant ? (©L’Orne hebdo)

Courteille, Damigny, Saint-Germain-du-Corbéis, même combat. À l’appel de l’intersyndicale de La Poste (CGT, Sud PTT et CFTC), des habitants se sont retrouvés mercredi 22 mai 2019 à Courteille, dans la salle de l’école du Point du Jour. Afin d’évoquer la fermeture annoncée du bureau de poste de Courteille (rue Pierre et Marie Curie) et la diminution des horaires de ceux de Damigny et Saint-Germain.

Créer un collectif

Objectif : créer un collectif d’habitants « car la balle est dans le camp de la population et des élus », rappelle Laurent Fromentin (CGT).

La direction régionale de La Poste argumente quant à elle une baisse de la fréquentation. Et évoque le projet d’une agence postale communale dans la future Maison des services (en travaux, dans l’ancienne école du Point du Jour) ainsi qu’un relais poste urbain dans un commerce de la place du Point du Jour.

Lire aussi : Alençon. Le bureau de poste de Courteille pourrait fermer dès septembre 2019

Des discussions ont été entamées avec la municipalité mais cette dernière a, lors du conseil municipal du 25 mars, voté une motion contre cette fermeture.

Des relais

« Ce projet de fermeture n’existe que si les élus la valident », assure François Marsault (Sud PTT). « La Poste doit leur proposer des relais poste commerçant ou des agences postales communales. Elle peut aussi faire pression, arguant sur une baisse des horaires si le bureau est maintenu ».

Il tient d’ailleurs à rappeler au public (une quarantaine de personnes) la différence entre ces différents concepts :

Un bureau de poste propose tous les services, dans un relais il ne peut y avoir aucune opération financière et dans une agence communale les opérations financières sont possibles mais le montant est limité ».

Il donne aussi l’exemple suivant « le distributeur de billets va être supprimé. Avec sa carte, un usager peut retirer 10 ou même 5 €. Les autres banques, c’est au minimum 20 €. Il devra donc rejoindre un autre bureau de poste pour retirer par exemple 5 €, mais en comptant 2 € aller-retour par le bus, il ne lui reste que 3 €… Une fermeture pénalise toujours les plus fragiles ».

Laurent Fromentin rappelle également que « les postiers ont prêté serment, la correspondance est quelque chose de sacré. On défend peut-être notre crémerie mais c’est une réalité. » Il évoque ainsi la prise en charge future des lettres, colis et autres envois « qui dans un commerce pourraient être déposés sous le comptoir, ou derrière la vitrine… »

Locataire à Courteille, « La Poste fera de belles économies », ajoute Christophe Legentil (CFTC). « Rejoindre une Maison des services publics ne lui coûte rien ».

Une réunion organisée par l'intersyndicale de La Poste, en présence d'habitants et plusieurs élus.

Une réunion organisée par l’intersyndicale de La Poste, en présence d’habitants et plusieurs élus. (©L’Orne hebdo)

Convention avec l’Etat

Les questions ne tardent pas à arriver dans la salle. « Que va faire la municipalité d’Alençon », demande cet habitant. Présent, François Tollot, élu municipal, rappelle la motion prise en conseil et « il n’y aura rien dans le nouveau bâtiment en construction ».

Prenant la parole à son tour, Joaquim Pueyo, conseiller et député de l’Orne, n’est pas venu les mains vides :

J’ai revu la convention signée entre l’État et La Poste pour 2018-2020, elle fixe le nombre de points de contact sur le territoire national à 17 100. De plus, La Poste joue un rôle de banque sociale, de par sa mission d’intérêt général d’accessibilité bancaire, et pour cela elle reçoit des millions d’euros de l’État ».

Autrement dit, un financement du contribuable.

Rassemblement le 7 juin

D’un côté des élus soucieux de préserver un service proximité sur leur territoire et de l’autre La Poste, une entreprise, qui veut réduire ses coûts de fonctionnement et dit faire face à une baisse de la fréquentation. Une entreprise qui n’emploie pas le mot de « fermeture » mais préfère celui de « transformation » en évoquant ces points relais maintenus sur le territoire. Avec l’aval des élus locaux…

Le bras de fer a donc commencé. En attendant une éventuelle marche arrière de La Poste, un rassemblement est prévu vendredi 7 juin à 9h devant le bureau de poste d’Alençon.

 

Toulouse. Une nouvelle procédure pour annuler la vente de l'Aéroport… et vous pouvez y participer

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Qui pour succéder aux Chinois ?

La vente de l’aéroport Toulouse Blagnac en 2014 est toujours contestée, cinq ans après. (©Actu Toulouse / Lilian Cazabet)

20 euros. « Ce sont les honoraires d’un avocat qui fait des efforts pour que le combat continue », souligne avec humour Me Christophe Lèguevaques, l’avocat du Collectif contre la privatisation de l’aéroport Toulouse-Blagnac

Ce dernier invite les Toulousains qui seraient opposés à la vente de l’aéroport à rejoindre le collectif dans le cadre d’une action collective conjointe. Moyennant 20 euros, vous pouvez vous joindre à la procédure devant le tribunal de commerce de Paris. Un recours sera déposé à partir de juin 2019 pour faire annuler la vente. « L’État doit redevenir propriétaire de l’aéroport », estime le collectif.

Lire aussi : Aéroport Toulouse-Blagnac : le tribunal de commerce va être saisi pour faire annuler la vente

Pour transformer l’essai

L’avocat toulousain entend ainsi transformer l’essai après une première victoire devant la Cour administrative d’appel de Paris. Par un arrêt du 16 avril 2019, la justice administrative a annulé la procédure de vente de 49,99 % des parts de l’État à la société Casil Europe.

La Cour administrative d’appel a considéré que le « cahier des charges » avait été méconnu. Estimant que le vice ainsi constaté avait affecté le choix de l’acquéreur, la Cour a annulé la décision de céder à la société Casil Europe 49,99% des parts du capital de la société Aéroport Toulouse Blagnac, l’autorisation du ministre chargé de l’économie recueillie le 7 avril 2015 et l’arrêté interministériel du 15 avril 2015 fixant les modalités de transfert au secteur privé de ces parts de capital.

Lire aussi : Aéroport Toulouse-Blagnac : la justice administrative annule la procédure de vente des parts aux Chinois

Un appel à la mobilisation

De gauche à droite :

De gauche à droite : Stéphane Borras, Chantal Beer-Demander et Christophe Lèguevaques (©Actu Toulouse)

Selon Stéphane Borras, membre du collectif, la candidature du consortium chinois, composé essentiellement de spécialistes de la finance, n’était plus recevable dès lors que son partenaire canadien, la SNC Lavallin, ne participait plus à l’offre présentée. Stéphane Borras rappelle que la firme canadienne du BTP est visée par une affaire de corruption.

Pour transformer l’essai, Me Christophe Lèguevaques doit désormais annuler l’acte de vente devant le tribunal de commerce de Paris. D’où l’appel à la mobilisation des Toulousains dans le cadre d’une action collective conjointe. Au nom du collectif contre la privatisation de l’aéroport de Toulouse, Chantal Beer-Demander explique :  

Si l’autorisation ministérielle a été déclarée nulle, cela n’entraîne pas ipso facto la nullité de l’acte de vente. S’agissant d’un acte concernant le capital d’une société commerciale, seul le tribunal de commerce est compétent.

Devant le tribunal de commerce

Un nouveau combat juridique s’annonce pour Me Christophe Lèguevaques. D’autant que l’État français a déjà annoncé son intention de se pourvoir en cassation pour contester l’annulation de la procédure. 

Lire aussi : Vente de l’Aéroport de Toulouse Blagnac : l’affaire portée devant le Conseil d’Etat

« Le tribunal de commerce de Paris pourrait surseoir à statuer en attendant la décision du Conseil d’État », prévient l’avocat du collectif, prêt à batailler pour obtenir la nullité de la vente. D’autant que l’actionnaire chinois s’apprête à revendre ses parts. Casil Europe a en effet confié un mandat à la banque d’affaires Lazard afin de trouver un acquéreur. En négociations exclusives, Eiffage a annoncé être entré en négociations exclusives avec Casil Europe.

Pour rappel, fin 2014, l’État avait vendu ses parts au groupe chinois pour un montant de 308 millions d’euros. En cédant leur capital, Casil Europe espère réaliser une importante plus-value. « Casil Europe était pourtant le seul candidat à promettre d’importants investissements pour l’aéroport de Toulouse », rappelle Stéphane Borras. « En réalité, ils n’ont pas versé un centime de leur poche ». 

Lire aussi : En négociations exclusives, Eiffage en passe de racheter l’aéroport Toulouse-Blagnac aux Chinois

Vers une mise sous séquestre ?

Cette vente pourrait ne pas avoir lieu. Bien qu’actionnaires minoritaires, la Chambre de Commerce et d’Industrie de Toulouse, la Région Occitanie, le Conseil départemental de la Haute-Garonne et Toulouse Métropole viennent de déposer une requête auprès du tribunal de commerce de Toulouse afin d’obtenir « la mise sous séquestre des titres détenus par l’actionnaire majoritaire Casil, la suspension de ses droits de vote et l’ajournement de l’Assemblée Générale du 6 juin 2019 qui doit notamment statuer sur l’approbation des comptes de l’exercice 2018 et la distribution des dividendes ».

La requête doit être déposée dans les prochains jours :

La décision de la Cour administrative d’appel de Paris du 16 avril dernier, d’annuler la procédure de cession par l’État à la société Casil de 49,99% des parts du capital d’ATB, constitue un facteur d’insécurité juridique majeur au moment où des décisions essentielles, dont notamment la distribution des dividendes, doivent être prises.

Lire aussi : Aéroport Toulouse-Blagnac : les collectivités locales veulent empêcher la distribution de dividendes

Me Lèguevaques veut s’inviter dans la procédure toulousaine

Le collectif contre la privatisation de l’aéroport de Toulouse regrette que les collectivités locales n’aient pas rejoint leur combat dès le départ. « Elles sont inquiètes par rapport à de nouvelles distributions de dividendes », estime Stéphane Borras. « L’aéroport a oublié les engagements du passé en poussant notamment fortement la croissance sur les horaires de nuit au détriment de la santé des riverains », ajoute Chantal Beer-Demander, par ailleurs présidente de l’Union française contre les nuisances des aéronefs

Lire aussi : Aéroport Toulouse-Blagnac : davantage de nuisances aériennes avec l’implantation de Ryanair ?

Dans le cadre du recours déposé par les collectivités locales devant le tribunal de commerce de Toulouse, Me Christophe Lèguevaques prévoit une « intervention volontaire ». C’est le terme employé pour qualifier un plaideur qui n’est pas partie à une procédure, et qui n’est donc ni demandeur ni défendeur, mais qui estime qu’il a intérêt à y participer. L’intervention volontaire n’est pas toujours recevable.

Affaire à suivre…

Pléguien : samedi 25 mai, venez embellir votre commune !

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Samedi matin, l'organisation de la journée citoyenne s'est effectuée à la Salamandre.

Samedi matin, l’organisation de la journée citoyenne s’est effectuée à la Salamandre.

Samedi 25 mai 2019, au matin, les équipes de la mairie de Pléguien attendront de pied ferme les volontaires qui voudront participer à l’embellissement de leur commune.

À partir de 9 h, sur le parking de la boulangerie, Renald André accueillera les jardiniers bénévoles afin de planter les arbustes en bas du bourg puis au lavoir de Penker.

Par la suite, ils viendront en aide à l’équipe de nettoyage de la fontaine sainte-Anne, avant d’aller pique-niquer à la Salamandre.

Peinture aux toilettes publiques

L’après-midi, vers 14 h, sur la place du bourg, c’est l’atelier décoration/peinture des toilettes publiques qui aura lieu avec Guénola.

La journée se terminera par le nettoyage des chemins proche du bourg.

Infos pratiques : Chacun vient avec le matériel nécessaire pour chaque activité exceptée pour la peinture où les gants, les pinceaux et le reste du matériel seront fournis sur place.

La Monnerie à La Flèche : seule plage labellisée Pavillon bleu en Sarthe

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Parmi les sites labellisés Pavillon bleu, la plage de la Monnerie à La Flèche (Sarthe) figure de nouveau au palmarès 2019.

Parmi les sites labellisés Pavillon bleu en 2019, la plage de la Monnerie à La Flèche (Sarthe). (©Les Nouvelles / Maxime Davoust)

Vous verrez peut-être flotter ce drapeau sur la plage cet été… Le Pavillon bleu, qui récompense la qualité environnementale, est décerné en 2019 à 395 plages sur 188 communes françaises ; 107 ports de plaisance sont également labellisés.

20 plages en Pays de la Loire

En Pays de la Loire, le Pavillon a été décerné à 20 plages ; la majorité étant située sur la côte.
En Sarthe, un seul site figure au palmarès : la Monnerie à La Flèche qui avait obtenu le Pavillon bleu dès 2015

Les critères portent sur l’éducation à l’environnement, la gestion des déchets et de l’eau, et l’environnement général dont la qualité des eaux de baignade.

Lire aussi : Maine-et-Loire : il remporte plus de 116 000 € au PMU

La fusillade de 2015 à Louviers jugée aux assises cette semaine

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Dès le soir du 14 septembre 2015, la police technique et scientifique était sur le pont dans le quartier des Acacias, à Louviers. ©La Dépêche de Louviers - archives

Dès le soir du 14 septembre 2015, la police technique et scientifique était sur le pont dans le quartier des Acacias, à Louviers. ©La Dépêche de Louviers – archives

Le fait divers avait secoué la ville et traumatisé les habitants, de par sa violence, mais aussi son contexte. Le 14 septembre 2015, au moment de la sortie des écoles vers 17 h, un homme avait tiré sur trois frères de Louviers, âgés de 22, 27 et 32 ans. C’était à proximité du centre social Pastel, dans le quartier des Acacias de Louviers (Eure). Les trois victimes ont été touchées par une grenaille de calibre 5, tirée par un fusil à pompes. Il s’agissait d’Ali Braik (l’aîné), de Jamel Braik et de Mohamed Braik.

La cour d’assises d’Évreux a d’abord consacré son audience du lundi 20 mai 2019 au rappel des faits, puis celle de mardi aux interrogatoires. Le jugement devrait avoir lieu après les réquisitions du procureur, jeudi 23 ou vendredi 24 mai 2015. Aux yeux de la justice, les motivations restent incertaines. Dès le 14 septembre, la rumeur allait bon train dans Louviers : on parlait d’un règlement de compte sur fond de trafic de drogue. Mais les habitants et les familles concernés avaient démenti, tout comme l’avocat des trois victimes, Me Merabet. À Paris-Normandie, l’avocat de l’accusé Kader Zerrouki, Me Corinne Gautier, met en avant un différend à cause d’une histoire de « femme ».

Les cris d’une femme

Mardi 21 mai 2019 devant la cour d’assises, le tireur présumé a d’abord rappelé le contexte de cette affaire. Cheveux en chignon, veste en jean, Kader Zerrouki, accusé de tentative d’homicide a confirmé la piste du différend pour une histoire de femme. Tout aurait commencé huit jours avant les coups de feu selon lui. Un dimanche, il est passé au pied d’un immeuble et a entendu les cris d’une femme qu’il connaissait. L’appartement de celle-ci étant situé au premier étage, fenêtre ouverte, il a jugé la situation suffisamment sérieuse pour aller frapper à sa porte.

Là, il s’est trouvé face à Ali Braik, l’ancien compagnon de la dame. Et il a asséné un coup de poing au visage de l’homme. « A partir de là, on m’appelait tous les jours. Une voiture circulait régulièrement dans Louviers pour me trouver et j’ai appris qu’Ali voulait me faire déménager » a expliqué l’accusé.

Comme on m’a dit que lui et sa famille pouvaient trouver facilement des armes, je me suis caché. Finalement, un lundi, une semaine après l’altercation, je suis allé à Sevran pour acheter un pistolet à grenaille et un gilet pare-balles. Le vendeur en a profité pour me faire un lot avec le fusil à pompe et je lui ai demandé de le charger avec des balles en caoutchouc. Je ne savais pas que c’était du plomb !

Trois ans d’instruction

Avant que l’accusé poursuive son récit, le président Jean-Christophe Chazalette s’est étonné de ce détail : « que cette histoire de balles en caoutchouc sorte aujourd’hui après trois ans d’instruction ». Ainsi Kader Zerrouki continue sa narration :

Le 14 septembre 2015, mon petit frère, Brahim, ayant été pris en chasse par un frère d’Ali, j’ai souhaité avoir des explications. Nous sommes montés en voiture et avons pris au passage un ami, Mehdi Saadi. Après avoir tourné dans Louviers nous avons finalement croisé Ali et nous sommes tombés d’accord pour régler le différend d’homme à homme, dans le quartier des Acacias.

La suite ? Selon l’accusé, quand les trois hommes sont arrivés dans le quartier, ils ont aperçu Jamel et Mohamed Braik. Ali étant absent, ils ont cru à un guet-apens et Brahim a contourné un immeuble une arme à grenaille à la main.

C’est alors que tout a dérapé. L’accusé s’est dirigé vers les frères puis soudain, a aperçu sur sa droite Ali, armé d’une gazeuse. Il a tiré sur lui. La gazeuse a explosé. Et il a ensuite fait feu deux fois en direction des deux autres hommes. « Putain ! Qu’est-ce que j’ai fait ? J’ai niqué ma vie ! » a-t-il finalement confié à Mehdi Saadi venu le chercher en voiture.

Lire aussi : Meurtres d’Élise et Julien à Rouen : Jean-Claude Nsengumukiza condamné à la prison à perpétuité

« Tout s’est passé en une fraction de seconde »

Brahim Zerrouki, poursuivi pour complicité, a corroboré ces propos. À une nuance près : il ne contournait pas l’immeuble mais rentrait chez lui. « Au début, j’ai pris l’arme par sécurité mais quand j’ai vu le gilet pare-balles et le fusil, je suis parti » a-t-il affirmé.

La même version a été développée par Mehdi Saadi, lui aussi accusé de complicité :

Je ne savais pas qu’il y avait des armes avant de monter dans la voiture. Jamel avait un bâton et une gazeuse. Quant à Mohamed, il portait quelque chose. Tout s’est passé extrêmement vite, en une fraction de seconde. J’étais perdu car c’était la première fois que j’assistais à une telle scène !

La plupart des autres témoignages, relatifs aux réputations des uns et des autres, ont ensuite presque pu faire oublier que les frères Braik étaient les véritables victimes. Hormis celui de la femme bien involontairement à l’origine du règlement de comptes meurtrier, qui vit de nouveau avec Ali, et celui de la compagne du plus jeune frère.

En cette fin de journée de septembre 2015, Ali Braik a été blessé aux jambes, Jamel touché au visage et Mohamed sérieusement impacté par les trois coups de feu. Blessé au thorax, avec un poumon perforé, ce dernier avait été rapidement transporté à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris. Les deux autres frères ont été conduits dans des hôpitaux différents, l’un à Rouen, l’autre aux Feugrais (Saint-Aubin-lès-Elbeuf).

La fuite

Avec son frère Brahim et leur ami d’enfance Mehdi Saadi, il a été rapidement identifié du fait du mode opératoire. Lovérien à l’époque Kader Zerrouki a été interpellé le 17 septembre 2015 dans la ville du Chesnay (Yvelines), soit trois jours après les faits. Il avait tenté de s’enfuir en courant, afin de se soustraire à un contrôle de police. L’ami a été arrêté le 16 septembre dans l’après-midi dans la rue des Quatre moulins, à Louviers, repéré par les policiers du commissariat de Val-de-Reuil. Quant à Brahim Zerrouki, il était arrêté un mois plus tard à Dieppe, caché chez un ami.

À l’époque, le tireur présumé, Kader Zerrouki, détenait déjà un lourd casier judiciaire. Il avait été condamné en 2010 à dix ans de prison pour séquestration en bande organisée. Les faits remontaient en 2007 lorsque lui et un ami, Mustapha Tokdemir (condamné à 13 ans de prison), avaient profité de l’aide de 17 autres personnes, dont Mehdi Saadi, pour séquestrer les gérants d’une pizzeria de Louviers pendant 14 jours.

Blain : une rando moto et un festival pour Océane, atteinte d'une maladie génétique

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Au centre, Océane entouré par des danseuses venues l'an dernier au festival organisé par l'association créée par les parents de la fillette.

Au centre, Océane entouré par des danseuses venues l’an dernier au festival organisé par l’association créée par les parents de la fillette. (©L’Éclaireur)

« Cette maladie est une malformation du cortex cérébral qui amène à des difficultés d’apprentissage de tout acte simple : maintien du corps, de la tête, marcher, parler, tenir assis, attraper un objet, regarder avec attention, etc… Elle engendre aussi une santé plus fragile », expliquent Sandra et Christophe Antheaume, ses parents.

Pour Océane, 11 ans, et sa famille, c’est un combat de tous les jours pour qu’elle acquière toutes les choses simples du quotidien.

Son état nécessite une stimulation quotidienne par deux, voire trois personnes. »

Financer le matériel de soins

La vie de la petite fille se déroule toutes les semaines au rythme de séances de kinésithérapie, de psychomotricité, ou encore avec une éducatrice de jeune enfant et une orthophoniste.

Depuis 2012, les parents créent régulièrement des événements au travers de leur association, dont les recettes permettent de financer le matériel nécessaire à Océane. La balade moto a ainsi lieu chaque année, des concerts ou festival s’y ajoutent. L’association est également sur des marchés de noël et vend des chocolats.

Cette année, la randonnée moto aura lieu le matin avec un départ depuis le site d’Airbus à Saint Nazaire (Loire-Atlantique) à 10 h 30 et une arrivée route de la Frelaudais à Blain (Loire-Atlantique). Ce site d’arrivée sera ouvert dès 10 h et on y trouvera un village enfant. Dès 13 h 30, le festival débutera. Au programme : spectacle de feu, concerts…

Lire aussi : Centre hospitalier spécialisé de Blain : les agents toujours en grève

Samedi 25 mai 2019 à partir de 10 h à la Frelaudais. Participation sous forme de donation. « Les gens donnent ce qu’ils veulent », précise Christophe. La balade moto est à 5 € par casque.

Essonne. Dynamic dogs : la nouvelle salle de jeux des chiens

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Le paradis pour votre chien

Le paradis pour votre chien (©Actu Essonne)

« C’est un projet sur lequel nous travaillons depuis près de six ans ». Par ces mots, Céline Magen, présente avec fierté le nouvel espace qu’elle a fondé avec son époux. Cette dernière est ainsi l’heureuse conceptrice de la plus grande salle consacrée aux sports et aux loisirs canins de France, basée à Evry-Courcouronnes, baptisée Dynamic dogs.

Une offre trop souvent insuffisante

Comment cette idée a germé dans l’esprit de ses créateurs ? « Avec mon compagnon, nous faisons partie de clubs canins depuis plus de dix ans. Nous nous sommes rendus compte que l’offre et les services proposés dans ces espaces étaient bien trop souvent insuffisants. C’est pourquoi nous avons décidé de créer une structure comme celle-ci, capable de proposer plusieurs types d’activités pour le bien-être des chiens », informe Céline Magen.

Avant d’ajouter : « Le problème en Ile-de-France, c’est le manque d’espaces disponibles ».

Vos chiens pourront se défouler

Vos chiens pourront se défouler (©Dynamic Dogs)

Une multitude de services

Grand de 2 000 m², cet espace propose trois terrains pour accueillir au mieux celui que l’on décrit souvent comme « le meilleur ami de l’homme ». Différents parcours d’agility, une discipline complète qui consiste à franchir des obstacles dans un ordre bien précis avec son chien en courant le plus vite possible, vous sont ainsi proposés. « Le gazon synthétique est prévu pour ne pas chauffer les coussinets des chiens », renseigne la fondatrice de Dynamic dogs.

Mais ce n’est pas tout. Outre le frisbee, la jeune structure propose aussi des cours d’éducation et d’obéissance. « Le tout sans méthode coercitive », rassure cette dernière.

« L’objectif de ces séances de jeux est simple. On vient s’amuser, défouler son chien et entretenir une relation basée sur la confiance et le plaisir. De plus, on ne refuse aucun chien, peu importe leur caractère », abonde Céline Magen.

L’autre atout majeur de Dynamic dogs réside dans le fait que l’espace est accessible à tout moment de l’année. « Dans la plupart des cas, les terrains des clubs sont en plein air, donc impraticables l’hiver ou en cas de pluie. Ici, on ne connaît pas ce problème ». 

Plusieurs parcours d'agility sont disponibles

Plusieurs parcours d’agility sont disponibles (©Actu Essonne)

Pour le moment, la présence du maître est obligatoire aux côtés de son chien. Mais à termes, si le public est au rendez-vous, Céline Magen espère développer une nouvelle salle pour que les maîtres puissent déposer leur chien à la journée. 

D’ici-là, vous pourrez venir admirer des concours d’agility dans la structure qui se dérouleront dans les prochaines semaines. 

La salle est ouverte 7j/7

La salle est ouverte 7j/7 (©Actu Essonne)

Ouverte depuis janvier et inaugurée le 11 mai dernier, la salle Dynamic dogs d’Evry-Courcouronnes propose différentes prestations. Comptez entre 30 et 44€ l’heure. Plus d’informations n’hésitez pas à vous rendre sur le site de Dynamic dogs, 4 avenue du Bois de l’Epine à Evry-Courcouronnes.


À Étrépagny, dans l'Eure, de l'or dans la corbeille d'Annie et Bernard Langlois

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Annie et Bernard Langlois, un couple bien connu au-delà même d'Étrépagny, ici entourés de leurs familles et amis, et de Frédéric Caillet, adjoint au maire.

Annie et Bernard Langlois, un couple bien connu au-delà même d’Étrépagny, dans l’Eure, ici entourés de leurs familles et amis, et de Frédéric Caillet, adjoint au maire. (©L’Impartial)

Séquence émotion l’autre samedi en mairie d’Étrépagny, dans l’Eure, où ont été célébrées les cinquante années de mariage des époux Langlois.

Le secret ayant été bien gardé par Bernard Langlois, sa femme Annie ne se doutait pas que sa famille l’attendait à l’hôtel de ville.

C’est en effet en toute discrétion que Bernard, conseiller municipal et ancien gradé de la gendarmerie, avait en effet demandé à ses enfants et petits-enfants d’être présents pour l’occasion.

Autant dire que la surprise fut grande quand cette dernière arriva dans la salle des mariages où avait pris place toute la famille et les amis.

Il se sont connus à l’école

La première rencontre entre Annie et Bernard, âgés aujourd’hui de 71 ans tous les deux, remonte à leurs années d’école.

Ils se sont revus quelques années plus tard lors d’une soirée à Bueil, petite commune au sud de Pacy-sur-Eure et ne se sont plus jamais quittés. Le début d’une belle et longue histoire d’amour.

Mariés le 26 avril 1969 à Breuilpont, ils ont eu deux filles Stéphanie née en 1974 et Laetitia née en 1979. Elles ont eu à leur tour trois filles, Lison née en 2004, Emmie née en 2006 et Mia née en 2012.

Rendez-vous est pris dans dix ans pour fêter les noces de diamant de ce sympathique couple auquel notre journal tous ses vœux de bonheur, s’associant ainsi aux propos chaleureux de Frédéric Caillet, adjoint au maire, lequel s’est fait un plaisir de présider la cérémonie.

Le nouveau maillot du FC Nantes présenté par Japhet N'Doram

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N'Doram entraîne aujourd'hui l'équipe fanion de Haute-Goulaine.

N’Doram entraîne aujourd’hui l’équipe fanion de Haute-Goulaine. (©Capture d’écran)

Hier, mercredi 22 mai, le club de football du FC Nantes a présenté son nouveau maillot pour la saison 2019-2020. Au travers d’une campagne de communication sur les réseaux sociaux, ce nouveau maillot voit le retour des « bandes » verticales jaunes et vertes, qui rappellent le glorieux passé du club. 

Dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, c’est Japhet N’Doram, légende du club (N°1 selon le magazine So Foot), joueur nantais entre 1990 et 1997 et champion de France en 1995, qui a été choisi pour présenter ce nouveau maillot aux supporters du club.

Le sorcier de la Beaujoire est toujours resté proche du stade de FCN, et est aujourd’hui l’entraîneur de l’ES Haute-Goulaine. Après être monté l’an passé, le club occupe la 4e place de son championnat de D1, à une journée de la fin du championnat. 

VIDÉO – Le FC Nantes dévoile son maillot 2019-2020

Écrire le futur sur les bases du passé 💫Les bandes verticales jaune et verte, symboles du glorieux passé du Club, font leur grand retour sur le maillot 2019-2020 👇

Publiée par FC Nantes sur Mercredi 22 mai 2019

Lire aussi : FC Nantes : l’ancien Canari Japhet N’Doram a désormais sa marque de vêtements

Capitaine Laëtitia Trassard, une femme dans l'Orne à la tête du centre d'incendie et de secours

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Laëtitia Trassard a été chaleureusement félicitée par Christophe de Balorre et Véronique Louwagie notamment

Laëtitia Trassard a été chaleureusement félicitée par Christophe de Balorre et Véronique Louwagie notamment

Fort d’un effectif total de 62 pompiers dont 10 professionnels, le centre d’incendie et de secours de L’Aigle (Orne) a été particulièrement actif en 2018 avec 1 630 interventions. Une disponibilité opérationnelle en hausse lui permet aussi d’intervenir très régulièrement en appui des unités voisines pouvant être moins bien loties.

« Une première pour l’Orne »

C’est dans ce contexte plutôt favorable que le lieutenant Christophe Notario quitte son poste de chef de centre, pour rejoindre Argentan (Orne), et le laisse au capitaine Laëtitia Trassard. Vendredi lors de la prise de fonction officielle, le président du Conseil départemental de l’Orne l’a chaleureusement félicitée pour cette accession, « persuadé qu’elle assumera cette lourde tâche avec compétente et sérieux ».

Lire aussi : A L’Aigle, condamné pour avoir frôlé les fesses d’un garçon de 12 ans

Christophe de Balorre est d’autant plus fier de cette nomination « qu’en 2015 déjà vous avez été la première femme chef de centre volontaire, au Sap. Là encore, c’est une grande première pour notre département. Qu’elle sache que tous nos vœux de pleine réussite l’accompagnent ».

Laëtitia Trassard n’avait pourtant pas d’antécédents familiaux l’invitant à épouser la carrière de pompier.

« Personne dans ma famille n’était pompier mais j’étais animée par la volonté d’aider les autres. Le côté humain des pompiers m’attirait et je suis allée les voir. Cette envie de départ est ensuite devenue une passion ».

15 ans volontaire, 13 ans infirmière

Cette volonté d’aider autrui n’est évidemment pas étrangère à son choix de carrière professionnelle.

Cela fait maintenant 15 ans que Laëtitia Trassard vole au secours des biens et des personnes et 13 ans qu’elle est infirmière au bloc opératoire à l’hôpital de L’Aigle.

A 34 ans, cette native de Lisieux a conscience des responsabilités qui lui incombent désormais mais la capitaine Laëtitia Trassard est sûre d’elle.

« Les 15 années passées au Sap m’ont permis d’évoluer, de grandir et de me préparer à saisir une opportunité quand elle se présenterait ».

« Fière de mon équipe »

Désormais pompier professionnel par voie de détachement, la patronne du centre aiglon a quitté le bloc opératoire le 31 mars dernier « pour rejoindre une équipe motivée et dont je suis déjà fière ». Sans chercher à bouleverser l’organisation actuelle du centre, la capitaine devrait toutefois apporter sa patte.

« Je suis jeune et j’ai peut-être une autre vision du management mais je suis déjà satisfaite de la façon dont les choses fonctionnent ici ».

Même si la disponibilité opérationnelle est bonne à L’Aigle, Laëtitia Trassard est impatiente de voir l’élargissement à tout le département d’une convention dont elle est à l’origine. Afin de permettre aux pompiers volontaires du Sap (Orne) de partir en intervention, le personnel de la garderie prend en charge leurs enfants jusqu’à 19 h 30, et même au-delà si besoin.

Chef ou cheffe ?

« L’expérience est actuellement en test à la caserne du Sap que je continue de diriger, et nous allons probablement l’élargir aux autres centres de secours proches », indique la capitaine. « En acceptant cette organisation, la population a compris que nous avions besoin d’aide pour être plus disponible. C’est une façon très utile de participer au fonctionnement de centre ». Cette idée pourrait être proposée à l’ensemble des centres de l’Orne dans les mois à venir.

Lire aussi : Sapeurs-pompiers de l’Orne : un système de garde des enfants quand les parents sont en intervention

Pour la première fois, le centre d’incendie et de secours de L’Aigle est donc dirigé par une femme. Au fait, comment faut-il dire ? Chef ou cheffe de centre ?

« Cela ne me dérange absolument pas si on ne féminise pas les fonctions. Alors, chef ou cheffe, c’est comme vous voulez ».

La capitaine Laëtitia Trassard devant son effectif

La capitaine Laëtitia Trassard devant son effectif (©Le Réveil Normand)

La parole aux élus
Christophe de Balorre, président du Conseil départemental et du Sdis de l’Orne.
« Le Centre départemental d’incendie et de secours consacre des moyens conséquents à la modernisation de tous ses centres, pour les bâtiments, véhicules et autres équipements spécifiques. Mais tout cela ne serait rien si nous ne pouvions pas compter sur des femmes et des hommes dévoués et formés, disponibles 24/24 et 365 jours par an ».
« Je tiens à saluer les efforts consentis en termes de formation, si essentielle. Je veux vous remercier pour votre mobilisation en faveur de votre école de Jeunes sapeurs-pompiers. Elle demeure, chacun le reconnaît, un vivier précieux, pour susciter des vocations ».
Véronique Louwagie, député.
« Vous êtes la première femme chef de centre à L’Aigle et plus généralement dans l’Orne et je dois dire que je me réjouis de cette féminisation. Très bientôt, à la gendarmerie de L’Aigle aussi nous aurons une femme à la tête de la brigade ».
Philippe Van-Hoorne, maire de L’Aigle et Conseiller départemental.
« Pour avoir déjà participé à ses côtés (Laëtitia Trassard) à des réunions préparatoires aux 4 Jours de L’Aigle, je sais que son sens du devoir et son écoute sont des atouts sur lesquels la municipalité pourra s’appuyer […] Le travail conjoint des différents corps, que ce soit la Police municipale, la Gendarmerie et les Pompiers, est nécessaire pour permettre à la population de se sentir en sécurité face aux aléas de la vie quotidienne ».

A La Ferté-Bernard, le festival de l'humour Les Rendez-vous de Saint-Lyphard s'annonce... sauvage !

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La jungle a déjà commencé son invasion en amont du festival Saint-Lyphard, à La Ferté-Bernard.

La jungle a déjà commencé son invasion de la ville, à La Ferté-Bernard (Sarthe) en amont du festival de l’humour Les Rendez-vous de Saint-Lyphard. @Echosarthois

C’est la 10e du festival de l’humour de La Ferté-Bernard (Sarthe), « Les rendez-vous de Saint-Lyphard », du jeudi 23 au dimanche 26 mai 2019. La compagnie locale qui l’organise, « Les tombés de la lune », a opté cette année pour le thème « sauvage ».

La jungle a envahi le centre-ville, pour une programmation de spectacles de rue et autres concerts autour de la même thématique… Et, nouveauté, tous les rendez-vous sont gratuits.

Au programme

Autre changement : fini le cabaret du vendredi ! Cette année, Edward, la star incontournable du festival -derrière qui se cache le directeur de la compagnie, Jérôme Côme- propose un « after » autour d’un bar à cocktails pour découvrir un trio chant, guitare contrebasse dans la plus pure tradition de la Bossa nova brésilienne…

Jeudi 23 mai

Soirée d’ouverture : One-man show de Kévin Razy, au centre culturel Athéna, à 20 h (de 6 à 19,90 €), réservations au 02 43 71 46 46, 1h30

Vendredi 24 mai

18 h 30 : Spectacle de rue Moniktrud et Maritérégonde, place de la Lice, nouveau spectacle de la Compagnie des Tombés de la Lune avec Jo Freeman et Jérôme Côme, tout public, 45 mn

19h30 : Apéro en musique, Les Wonder Chicken, placed et de la Lice et Carnot, 45 mn

20h30 : Concert de rue, Las Gabachas de la Cumbia, place Carnot, 1h15

22h : After Bossa nova, aux Halles, 1h, entrée libre ; Intermèdes avec « Les fées moi rire » et le sauvage Edward

Lire aussi : Commerce : Adréna Line migre rue d’Huisne à La Ferté-Bernard

Samedi 25 mai

15h : Cérémonie d’ouverture, place de la Lice, 20 mn

Durant les après-midis : 

– Déambulation Gardes frontières, au hasard des rues du festival

– Déambulation Tribu couleur

15h30 et 17h30

– Jeune public Wafels, Chapelle, 45mn, à partir de 6 ans

– Spectacle déambulatoire Safari, création Saint-Lyphard, places limitées (à partir de 10 ans), 1h06, départ des Halles

16h30 : Avant première Mystérieuse disparition, école de Melleray, Jardin de l’office de tourisme, 20mn

16h et 18h : Spectacle déambulatoire Very lost, départ porte St Julien, tout public, 35 mn

17h : Spectacle de rue Slips expérience, comagnie Okidok (Belgique), jardin de l’Espace jeunesse, 35 mn, tout public

18h : Avant première Clown therapy, théâtre de l’Echauguette (Bouloire), jardin de l’office de tourisme, 15mn

19h : Spectacle de rue Le mystère du joueur de Cornemuse, compagnie Les tombés de la lune, place de la Lice, à partir de 5 ans

19h45 : Apéro en musique, Perq’sao, places de la Lice et Carnot

20h30 : Concert de rue, The Loire valley calypso, place Carnit, 1h15

Entre 21h45 et la nuit tombée : Spectacle de feux Tuz Joï, place de la Lice

22h : After Berekely & Zama, aux halles, 1h, entrée libre

Dimanche 26

12h/14h : Déjeuner festif à la Guinguette des îles, animé par la fanfare Brazzy Dol, place de la Lice

12h12 (aussi vendredi et samedi à 22 h) : Chœur de femmes survitaminées Les fées moi rire, place de la Lice

13h30 et 16h : Jeune public Wafels, Chapelle, 45mn, à partir de 6 ans

14h et 15h45 : Spectacle déambulatoire Safari, création Saint-Lyphard, places limitées (à partir de 10 ans), 1h06, départ des Halles

14h30 et 16h15 : Spectacle déambulatoire Very lost, départ porte St Julien, tout public, 35 mn

15h30 : Spectacle de rue Slips expérience, comagnie Okidok (Belgique), jardin de l’Espace jeunesse, 35 mn, tout public

Spectacle de clôture : Le dompteur de sonimaux, place de La Lice, tout public à partir de 5 ans, 50 mn

Tout le programme en ligne juste ici 

Top 14. Julian Savea annonce qu'il va rester à Toulon la saison prochaine

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Julian Savea a confirmé son intention d'honorer sa dernière année de contrat à Toulon.

Julian Savea a confirmé son intention d’honorer sa dernière année de contrat à Toulon. (©Icon Sport)

Julian Savea ne renonce pas. L’ailier néo-zélandais a confirmé sur les réseaux sociaux qu’il allait bien honorer sa dernière année de contrat avec le club de Toulon la saison prochaine.

Oui, je reste. Partir n’a jamais été une option pour moi.

Quatre essais en 21 matches…

Sur le plan sportif, la première année de Julian Savea au RCT est un échec. S’il a été aligné à 21 reprises, il n’a quasiment jamais montré son réel potentiel (4 essais), bien loin de la terreur qu’il fut sous le maillot des All Blacks (54 sélections ; 46 essais). L’ailier néo-zélandais s’est attiré les foudres du public de Mayol, mais aussi et surtout celles du président Mourad Boudjellal.

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L’homme fort du RCT avait de quoi être déçu de son « investissement » (Savea jouit d’un très gros salaire sur la rade !). Après un match perdu contre Agen en février dernier, où Savea avait été une nouvelle fois fantomatique, Boudjellal s’était emporté au sujet de son joueur :

Je lui ai dit qu’il était libéré et qu’il n’était plus le bienvenu à Toulon. […] Il lui reste un an de contrat. Il peut faire ce qu’il veut. Ça peut être long pour le club un an, mais surtout très long pour le joueur. 

Savea n’a jamais dévié de sa trajectoire

Si les tensions se sont quelque peu apaisées, Savea n’a pas signé de performances fracassantes depuis son retour après sa mise au frigo. Patrice Collazo le retient régulièrement dans le groupe. Il fait partie du dernier groupe de la saison qui se rendra à Castres samedi 25 mai, avant de partir en vacances. Un signe que l’entraîneur compte sur lui, quitte à le faire glisser de l’aile au centre.

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Le nom de Savea avait été lié en avril 2019 aux Southern Kings. Ce que le Néo-Zélandais avait rapidement démenti. Il n’a jamais dévié de sa trajectoire, à savoir rester à Toulon pour (enfin) montrer de quoi il est capable. Sa motivation est toujours intacte. Et la saison prochaine, ce sera avec lui au RCT. Sur Twitter, il a même posté ce message :

J’espère que la saison prochaine, vous nous verrez en finale.

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