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Cinéma : on a apprécié Le cas Richard Jewell

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Le cas Richard Jewell, dernier long-métrage de l'acteur-réalisateur Clint Eastwood.

Le cas Richard Jewell, dernier long-métrage de l’acteur-réalisateur Clint Eastwood. (©DR)

Le cas Richard Jewell est le dernier long-métrage de l’acteur-réalisateur Clint Eastwood.

Inspiré comme à son habitude d’une histoire vraie, ce film est aussi réussi que Sully, et fait oublier le très moyen Le 15 h 17 pour Paris.

Cette adaptation de American nigthmare : The ballad of Richard Jewell, raconte, avec justesse et un magnifique sens de la mise en scène, la descente aux enfers de Richard Jewell, glorifié pour son acte héroïque, puis, en un rien de temps, fustigé, crucifié par les médias et le FBI comme le pire criminel.

Il y a beaucoup à dire sur ce film, au-delà d’une réussite scénaristique, des belles images et d’un casting superbe, on peut y voir un éloge de la gentillesse, qualité trop souvent méprisée, suspecte même, et confondue avec la naïveté et la mièvrerie. Alors que la gentillesse est un acte volontaire si essentiel, une arme redoutable contre la bêtise humaine et sa cruauté, dans un monde où les valeurs se sont inversées, où la fragilité n’a plus sa place, la gentillesse est un acte de rébellion. Avec Le cas Richard Jewell, il est bon de se rappeler de s’émouvoir sur son pouvoir de sauver des vies !

Soleñ De La Turmelière


Emploi. Une aide financière pour recruter dans les quartiers prioritaires de Caen et d'Hérouville

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Rachel Salou (à droite) DRH chez Armantis signe les formalités du contrat de sa nouvelle employée Élodie Wera (2e à droite). Philippe Court (au centre) préfet du Calvados et Rodolphe Thomas (au second plan) maire d'Hérouville étaient présents pour présenter l'emploi franc.

Rodolphe Thomas, maire d’Hérouville (second plan) et Philippe Court, préfet du Calvados (au centre) étaient au pole emploi d’Hérouville. Ils ont assisté à la signature des premiers « emplois francs ». (©Lucas Rapi)

En 2020, les entreprises et associations pourront bénéficier d’une indemnité, si elles embauchent des personnes issues des quartiers prioritaires de Caen (Calvados), Colombelles et Hérouville. La mesure est souple et facile à mettre en place. Un simple justificatif de domicile est nécessaire.

Les quartiers prioritaires de l’agglomération caennaise :
Caen :
Calvaire Saint-Pierre, Chemin Vert, Grâce De Dieu, Guérinière, Pierre Heuzé
Colombelles : Centre-ville
Hérouville : Belles Portes, Grande Delle, Grand Parc, Haute Folie, Val

Pour vaincre la discrimination à l’embauche, l’État généralise son dispositif nommé : « emploi franc ». Lancé en 2018 sur certains secteurs, il gagne aujourd’hui la Normandie pour être testé durant l’année 2020.

Des premiers emplois francs signés

Le 20 février 2020, Élodie Wera signe son contrat avec Armantis, une société spécialisée dans la relation client. En signant ce CDI, l’entreprise pourra bénéficier de 15 000 euros sur trois ans. La nouvelle employée réside à la Pierre Heuzé. Éligible au système, sa société affirme qu’elle n’a pas été recrutée par rapport à son lieu de résidence. « On recrute par rapport aux compétences, souligne Rachel Salou, DRH chez Armantis. C’est après qu’on a vu pour les emplois francs ».

Même son de cloche chez Ismaëlle Legros, directrice du foyer des jeunes travailleurs à Hérouville qui a recruté un agent de maintenance en début d’année. « On a cherché par rapport au CV car on avait besoin de compétences techniques. » 

On recrute quelqu’un pour son talent. L’aide financière est là pour briser les préjugés. Philippe Court, préfet du calvados 

L’aide financière permet aux entreprises de proposer des contrats plus « solides ».

Difficile de savoir si les subventions vont orienter les entreprises à recruter principalement dans les quartiers prioritaires. 

Si on a deux CV identiques mais que l’un vient d’un quartier prioritaire… on prend les deux (rires). Rachel Salou, DRH Armantis

En revanche la mesure permet de renforcer les contrats proposés aux personnes issues des quartiers prioritaires. « Sans la subvention on aurait proposé un contrat de 20 heures par semaine. Au final on a pu lui proposer 24 heures », affirme Ismaëlle Legros . 

Yann Louise, responsable à la mission locale se félicite de l’embauche d’une jeune fille de la Guérinière à la clinique de la Miséricorde. « Grâce à l’emploi franc ils ont pu lui proposer un CDD de six mois alors qu’au départ ils ne partaient que sur deux mois ».  

Les indemnités :
CDI : 15 000 € sur 3 ans
CDD (6 mois minimum) : 5000 € sur 2 ans
Ces montants peuvent varier en fonction du temps de travail et de la durée du contrat
Qui peut être embauché ?
Les habitants des quartiers prioritaires. Ils doivent être inscrits à pole emploi, adhérents à un contrat de sécurisation professionnel (CSP) ou bien être suivie par la mission locale
Qui peut en bénéficier ?
Les entreprises et associations SAUF les employeurs particuliers et les établissements publics
Quand ?
Les embauches entre le 1er janvier 2020 et le 31 décembre 2020

L'alerte à la neige prolongée jusqu'à jeudi au Luxembourg, jusqu'à 8 centimètres attendus

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Une autoroute luxembourgeoise sous la neige.

Une autoroute luxembourgeoise sous la neige. (©Pxhere/ Illustration)

De jeudi 10h à 20h, Météo Lux a lancé une vigilance neige « danger potentiel » pour tout le pays. « Une fine couche » pourra se former localement et des cumuls de 5 à 8 cm pourront tomber, prévient le service métrologique

La neige a déjà touché partiellement la Lorraine ce mercredi, comme l’avait indiqué Météo France, notamment les hauteurs de la région de Nancy dan la matinée. 

Lire aussi : Neige en Lorraine : les flocons sont tombés à Nancy, bus et circulation perturbés

Les pneus hiver obligatoires

Pour rappel, depuis le 1er octobre 2012, la conduite d’un véhicule sur la voie publique dans des conditions hivernales (verglas, neige tassée, neige fondante, plaques de glace ou de givre) n’est autorisée qu’avec des pneus hiver montés sur toutes les roues du véhicule, sur le territoire du Grand-Duché.

Le non-respect de cette réglementation est sanctionné par une amende de 74 euros. A noter qu’une contravention du même montant peut vous être délivrée si vous ne dégagez pas la neige sur votre pare-brise et que cela réduit votre visibilité en conduisant. 

La police luxembourgeoise procède régulièrement à des contrôles dès que les conditions hivernales reviennent. Soyez donc vigilants à l’arrivée des premiers flocons. 

Lire aussi : Neige au Luxembourg. Frontaliers : quand doit-on installer ses pneus hiver obligatoires ?

Pays Basque. Les quatre AOP du Pays basque unissent leurs forces

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piment

Le vin d’Irouléguy , le fromage Ossau-Iraty le piment d’Espelette et le porc Kintoa se sont associés pour valoriser au mieux leur AOP (©Actu Pays Basque)

Le vin d’Irouléguy , le fromage Ossau-Iraty le piment d’Espelette et le porc Kintoa, ces quatre AOP du Pays Basque ont décidé d’unir leur force en novembre 2019 pour une plus grande visibilité et valoriser l’origine et la qualité des produits du Pays Basque. Ils sont tous réunis en ce moment au Salon International de Paris qui a lieu jusqu’au 1 mars 2020 et ont présenté officiellement leur association.

Lire aussi : Histoires et Légendes du Pays basque. La Rhune

Les quatre AOP du Pays basque se sont rassemblés dans une association qui réunit le Syndicat des Vins d’Irouleguy, la filière porc basque Kintoa, le Syndicat Ossau-Iraty et celui du piment d’Espelette.

Différence entre AOC et AOP ?

L’AOC (Appellation d’Origine Contrôlée) est un label français, tandis que l’AOP (Appellation d’Origine Protégée) est européen. Il faut d’abord obtenir une AOC pour prétendre à une AOP par la suite. Le label AOP permet aux producteurs d’être mieux protégés contre la fraude au niveau européen.

Objectifs de cette association

mettre en lumière le fruit du travail des femmes et des hommes de notre territoire

Le premier objectif de ces quatre AOP du Pays basque est de donner plus d’ampleur et de visibilité à leurs actions collectives. Le deuxième est de valoriser les particularités des produits AOP : des produits qui sont bons, beaux et éthiques, des produits qui mettent en valeur le terroir et les origines, des produits issus de filières qui ont le sens du collectif.

Anniversaires des quatre AOP du Pays basque

L’année 2020 est une année d’anniversaires pour les quatre AOP du Pays basque réunis en association. Ils fêtent l’anniversaire de leurs Appellations d’Origine Contrôlée :

  • AOC en 1970 : Le vin d’Irouléguy fête ses 50 ans cette année
  • AOC en 1980 : Le fromage Ossau Iraty fête ses 40 ans
  • AOC en 2000 : Le piment d’Espelette fête ses 20 ans
  • AOC en 2016 : Le porc de Kintoa quant à lui, fête ses 4 ans d’ancienneté

De nombreux évènements auront lieu durant cette année pour valoriser leurs produits.

Lire aussi : Pays Basque. C’est à vous de voter pour l’affiche des Fêtes de Bayonne 2020

D’autres AOP à venir au Pays Basque

Depuis plusieurs années l’association Xapata des producteurs de « cerises d’Itxassou » travaille à l’élaboration d’une demande de reconnaissance en Appellation d’Origine Protégée (AOP). Ils ont rendu un dossier sur la zone de production de la cerise d’Itxassou. Cette zone concerne 61 communes du Labourd et de Basse Navarre.

Récompenses lors du SIA 2020

Durant le concours plusieurs producteurs de piments d’Espellette ont récoltés des médailles :

Or :

  • Jean-Michel Sabarots
  • Milaka

Argent :

  • Groupement des producteurs du Pays basque
  • Laurence Lastiri
  • Iñaki Viquendi
  • Haranea

Bronze :

  • Peio Etcheverry

[SIA2020] Ils sont là ! Les résultats du Concours général agricole du 25/02 catégorie Piments d’Espelette7 médailles…

Publiée par Département des Pyrénées-Atlantiques sur Mercredi 26 février 2020

Sur un bateau au-delà du Cercle polaire : « Le poste de cuisinier le plus fou que je connaisse ! »

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Dans sa petite cuisine de 9 m2 sur l’eau, Cyril Schiewe cuisine même les poissons qu’il pêche, comme ce beau cabillaud !

Dans sa petite cuisine de 9 m2 sur l’eau, Cyril Schiewe cuisine même les poissons qu’il pêche, comme ce beau cabillaud ! (©DP)

Le jeune Cherbourgeois Cyril Schiewe travaille sur un navire de croisière hors du commun, au-delà du cercle polaire. Il le confie sans peine : « C’est le poste de cuisinier le plus fou que j’ai pu connaître ! »

Après une escale technique à Boulogne-sur-Mer, il repartira vers de nouvelles aventures fin mars ou début avril.

Interview

Pouvez-vous résumer votre parcours ?
J’ai 27 ans, j’ai fait primaire-collège à Cherbourg, puis je me suis orienté vers l’hôtellerie-restauration un peu par hasard, car mon cousin et un copain faisaient ça. J’ai obtenu un BEP et un Bac pro au lycée hôtelier de Dives-sur-Mer dans le Calvados. Ce parcours m’a plu car j’ai toujours aimé la boustifaille et les moments conviviaux qui vont avec, et surtout faire plaisir aux gens en leur préparant un bon repas.

 

Avez-vous travaillé dans le Cotentin ?
Oui j’ai fait deux saisons à La Potinière à Carteret, et des stages à Cherbourg : le Plouc 2 (au service) et le Café de Paris (en cuisine) et à Valognes au Grand Hôtel du Louvre. J’ai eu mon diplôme en 2011, puis je me suis mis à travailler un peu partout en France, notamment pour les saisons : camping de Dol-de-Bretagne, brasserie de luxe à Verbier (Suisse) en montagne aux côtés d’un ancien chef étoilé de la Tour d’Argent, Sarlat, Vichy, île de Ré…

« J’ai horreur de la routine ! »

Vous avez la bougeotte !?
J’ai horreur de la routine ! Et j’aime ces boulots de saison qui permettent de découvrir les coutumes culinaires de chaque région et de bosser tout en se sentant un peu en vacances. C’est formateur de travailler dans tout type de restauration, en autonomie ou parmi d’autres employés : snacks, gastronomiques, traditionnels… J’ai tout essayé sauf les fast-foods (rires). J’ai même bossé sept mois en cuisine de collectivité à Collignon, ou encore sur le Bretagne de la Brittany Ferries. Mon contrat le plus long, c’est un an et demi à La Fabrik.

 

Comment êtes-vous devenu le cuisinier d’un bateau en Norvège ?
Ma sœur Marie m’a fait suivre une annonce, j’ai postulé et j’ai eu le poste sur le Polarfront. J’ai effectué un premier CDD de juillet à octobre 2019. C’est un ancien bateau météo de 55 m de long qui réalisait des mesures scientifiques dans les eaux norvégiennes. Il a été rénové et complètement réaménagé en navire de croisière pour la compagnie française Latitude Blanche. On est une dizaine de membres d’équipage, et chaque croisière réunit une douzaine de passagers qui paient entre 5 000 et 20 000 € selon la durée de la croisière et les lieux où l’on navigue.

« Des paysages de dingue à travers les hublots »

Comment se passe la vie à bord ?
Je dois m’adapter à la petite cuisine de 9 m2 mais c’est super. Il faut tout anticiper au maximum, entre l’approvisionnement, la gestion des stocks dans les placards et les chambres froides… Je nourris une vingtaine de personnes à chaque repas, entrée-plat-dessert, mais je fais également le pain, les viennoiseries, les yaourts… C’est le poste de cuisine le plus fou que j’ai pu connaître ! Au lieu d’être enfermé entre quatre murs, je vois des paysages de dingue à travers les hublots tous les jours.

 

Parlez-nous de ces croisières de luxe ?
Il y en a plusieurs, notamment en suivant la côte nord de la Norvège, avec les fjords, ou plus au nord (mer du Groenland, mer de Barents, océan Arctique) avec surtout le Spitzberg, une île norvégienne située dans l’archipel du Svalbard. Outre les sublimes paysages nordiques, on observe une faune extraordinaire : baleine bleue, baleine à bosse, rorqual, orque, renard polaire, morse, phoque, ours polaire, renne, élan, etc. On n’est pas nombreux à bord, l’ambiance est familiale car une énergie de groupe se crée au fil des jours. On participe à tout ensemble : conférences à bord (sensibilisation à la fonte des glaces, histoire des îles…), approches de la banquise en Zodiac, excursions à terre… durant lesquelles je propose parfois un buffet !

« Continuer à bosser sur les bateaux »

Vous allez bientôt repartir ?
Mon nouveau contrat a commencé début février, il s’achèvera le 2 juin. Le Polarfront est en escale technique à Boulogne-sur-Mer. Il faut que je gère les commandes et les stocks, on repart fin mars, début avril. Après je passerai l’été à Cherbourg puis en Australie avec des copains. Et fin août je repars sur le Polarfront pour trois mois ! J’envisage de continuer à bosser sur les bateaux, les conditions sont vraiment différentes du travail à terre…

En quelques photos :

Vannes : retour de la zumba sur le port dimanche

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La zumba devrait encore réunir de nombreux participants

La zumba devrait encore réunir de nombreux participants (©Ville de Vannes)

Pas facile de tenir sa résolution de faire plus de sport ? Peut-être que la cohésion de groupe vous motivera. Comme chaque premier lundi du mois, Vannes tous en basket revient sur l’esplanade du port dimanche 1er mars 2020. 

Retour du duo footing/zumba

L’édition de février prévoyait une séance spéciale sur le basket mais a du être annulée suite aux tempêtes du début du mois. Pour ce dimanche, retour à un rendez-vous plus classique. 

Le traditionnel footing de 10h30 mené par l’ASPTT lancera la matinée. La zumba, de plus en plus populaire, prendra le relais pour une séance à partir de 11h. 

Blues from Mars à Cléon. « Les musiciens savent que l’accueil est bon et le public connaisseur »

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Three Pats for a Guitar Night est l’un des concerts du festival Blues From Mars, samedi 14 mars.

Three Pats for a Guitar Night est l’un des concerts du festival Blues From Mars, samedi 14 mars. (©DR)

Le festival ou « programmation thématique » Blues From Mars organisé par la salle de La Traverse de Cléon, dans l’agglo d’Elbeuf, est de retour. Et cette année, les « guitares héros » vont être mis à l’honneur.

Des artistes rares, pointus… De ceux qui font deux dates en France, « à Paris et Cléon », vont de nouveau se produire en nombre dans la salle de l’agglo d’Elbeuf, La Traverse.

« C’est pour les amateurs de blues, les aficionados », bref, les connaisseurs. « Blues From Mars, c’est envisager le blues de manière large ainsi que toutes ses musiques sœurs », précise Paul Moulènes, le directeur des lieux.

La Légende. Walter Trout
Attention légende ! Vétéran de la scène blues rock, Walter Trout possède un CV à faire pâlir bon nombre de musiciens. Il a, entre autres, passé cinq ans au sein des Bluesbreakers de John Mayall, a été membre de Canned Heat, a accompagné John Lee Hooker et Joe Tex.
À travers plus d’une vingtaine de disques il réussit régulièrement le pari de nous offrir des titres forts et contemporains tout en restant fortement ancré dans la plus pure tradition du blues rock et du boogie. Retrouvez l’un des meilleurs guitaristes blues-rock de la décennie en concert à La Traverse.
Il viendra, entre autre, nous présenter son dernier album, Survivors Blues, un magnifique recueil de chansons blues-rock.
Pratique. Jeudi 14 mai, à 20 h 30. Tarifs : de 8 € à 22 €.

Walter Trout a un CV impresionnant.

Walter Trout a un CV impresionnant. (©DR)

Six cordes et frisson

Et cette année, le programmateur n’hésite pas à parler de « légendes pour lesquelles ce sont peut-être les dernières chances de les voir en concert en France ». Melvin Taylor, Robin Trower, Walter Trout… « On s’est rendu compte en construisant la programmation que cette année, les guitaristes étaient vraiment mis en valeur. Cette figure du guitares héros. »

Ceux pour qui six cordes riment avec frissons, émotions brutes, vont en avoir pour leur argent dans la salle référence du Blues.

L’homme de Chicago. Melvin Taylor
Lorsque l’on naît à Chicago dans les années 60 dans une famille de musiciens, la voie est toute tracée : celle du blues. A la fin des années 80, il est rapidement repéré grâce à son talent et son style véritablement à part. Il se voit proposer de jouer avec quelques figures comme Pinetop Perkins et « Big Eyes » Willie Smith avec lesquels il forme The Legendary Blues Band pour sa première tournée en Europe.
Melvin y rencontre un succès immédiat et particulièrement en France où il enregistre ses deux premiers albums en 1982 et 1984. En solo il s’impose comme une des figures importantes parmi les maîtres de la six cordes sur les scènes blues du monde entier.
Guitariste chevronné et inspiré, son jeu est un subtil mélange de blues, jazz, rock et soul. De retour en Europe, il revient en force avec l’envie intacte de partager avec le plus grand nombre sa passion du blues de Chicago.
Pratique. Tarifs : de 8 € à 20 €. Jeudi 19 mars, à 20 h 30.

Melvin Taylor est de retour en Europe.

Melvin Taylor est de retour en Europe. (©DR)

« C’est vrai, maintenant, La Traverse est une vraie référence. Les musiciens, les producteurs savent que l’accueil est bon et que le public est connaisseur », se félicite le programmateur.

Des concerts, des dates pour lesquelles les spectateurs viennent de très loin, comme ce couple de Barcelonais venu spécialement pour le concert de Kris Barras, en décembre dernier.

Conséquences : des noms cultes, des légendes du blues qui se produisent rarement en Europe et à plus fortes raisons en France, viennent jouer à Cléon. En face des usines Renault.

Mélange

« On a toujours cet objectif, également, d’élargir notre public tout en conservant les habitudes et l’ADN de la salle. » Et pour cela, sa recette : « mélanger les découvertes et les figures légendaires », avec notamment un gros travail pour dénicher des premières parties pertinentes et pas forcément locales.

Avec Blues From Mars, c’est finalement la consécration de la philosophie de La Traverse. Une savante élaboration qui va se dévoiler aux habitants de l’agglo, mais pas que, dès le 5 mars.

Blues From Mars, ce sont sept dates, une petite vingtaine de concert à La Traverse (dont une date à l’espace Torreton, à Saint-Pierre-lès-Elbeuf) durant le mois de mars et avril. Toutes les informations pratiques sur www.latraverse.org.

L’exigence. Robin Trower
Membre fondateur de Procol Harum de 1967 à 1972, avec une brève reformation au début des années 90, à son tout dernier album, Coming Closer to the day sorti en Mars 2019 chez Provogue, en passant par l’incontournable Bridge of Sighs (un million et demi de copies vendues à sa sortie en 1974 !), Robin Trower fait partie du cercle très restreint des légendes vivantes de la guitare.
D’ailleurs Fender créa son modèle signature la Stratocaster Robin Trower en 2005 et fabriqué 100 modèles Custom Shop estampillés Bridge of Sighs.
Avec plus de 50 ans de carrière, Robin demeure un des guitaristes les plus exigeants et les plus talentueux auxquels le Royaume-Uni ait donné naissance.
Pratique. Jeudi 30 avril, à 20 h 30. Tarifs de 8 € à 20 €.

Robin Trower, l’homme qui avait une guitare à son nom.

Robin Trower, l’homme qui avait une guitare à son nom. (©DR)

Rugby : un Big Mac offert à tous les supporters en cas de victoire de l'UBB face à Castres

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En cas de victoire de l'UBB face à Castres, les supporters ont le droit à un Big Mac gratuit.

En cas de victoire de l’UBB face à Castres, les supporters ont le droit à un Big Mac gratuit. (©Ohvalie)

Dans le cadre d’un partenariat avec Mc Donald’s, l’Union Bordeaux-Bègles a promis d’offrir un burger – le célèbre Big Mac – à tous les supporters présents au stade Chaban-Delmas, ce dimanche (12h30), pour la 17e journée de Top 14.

La seule condition ? Il faut que l’UBB gagne son match face au Castres Olympique et se présenter en restaurant avec son billet de match (ou e-ticket) ou sa carte abonné.

Valable jusqu’au 9 mars

L’offre est valable à partir du lendemain du match et jusqu’à dix jours après la rencontre (soit jusqu’au 9 mars inclus) dans les restaurants McDonald’s de Bordeaux et des alentours. 

Liste des restaurants participants : Ste-Catherine, Victoire, Promenade Ste Catherine, Gare St-Jean, Barrière de Toulouse, Le Pian Médoc, St-Médard-en-Jalles, St Jean d’Illac, Lesparre Médoc, Eysines, Blanquefort, Mérignac Soleil, Mérignac Sortie 9 et 10, Bordeaux Port Autonome, Stade Chaban Delmas, Barrière du Médoc, Bordeaux Lac, Quai des Marques, St-André de Cubzac, St-Martin Lacaussade, La Sauve, Thiers, Lormont, Ste Eulalie S43, Ste-Eulalie Grand Tour, Floirac et Montussan.


Municipales 2020. Jean-Marc Vayssouze-Faure, candidat à Cahors, dévoile les 181 points de son programme

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Le candidat aux élections municipales de mars 2020 à Cahors, Jean-Marc Vayssouze-Faure, entouré des membres de la liste « L’avenir en confiance », a présenté son programme.

Le candidat aux élections municipales de mars 2020 à Cahors, Jean-Marc Vayssouze-Faure, entouré des membres de la liste « L’avenir en confiance », a présenté son programme. (©Actu-Lot)

Jean-Marc Vayssouze-Faure, candidat aux élections municipales de mars 2020 à Cahors, a dévoilé ce lundi 24 février 2020 son programme, composé de 181 propositions. Le candidat de la liste « L’avenir en confiance » précise que la transition écologique sert de fil rouge à ce programme.

« C’est un projet crédible, financé, qui fixe un cap clair pour préparer l’avenir en confiance. » Jean-Marc Vayssouze-Faure

Jean-Marc Vayssouze-Faure, maire sortant candidat aux élections municipales, explique que ce programme se compose de 181 propositions, dont les 50 issues de la démarche de coconstruction qu’il avait déjà présentées. Il précise que son équipe veut « poursuivre l’aménagement et l’équipement de notre ville », veut « consacrer une part croissante de nos budgets aux besoins du quotidien des habitants », veut « garantir une gestion saine des finances en prolongeant la baisse des taux d’imposition et le désendettement de la ville », veut « préparer la ville aux enjeux de demain en la plaçant sur le chemin de la transition écologique » et veut « associer les habitants à la décision tout au long du mandat ».

Stationnement, voirie, mobilité, santé…

Le candidat égrène différentes propositions, précisant que le fil conducteur est la « transition écologique avec une quarantaine de propositions » : prolonger le programme de rénovation des voiries et des trottoirs, rénovation de l’Espace Valentré pour proposer une salle de 1 000 places tout en gardant les usages multi-activité, créer une salle d’exposition pour la pratique amateur, aménager une aire de jeux pour les enfants, créer un skate park nouvelle génération, expérimenter les budgets participatifs, impulser la création de maisons de santé, entamer la rénovation des quais à l’intérieur de la boucle, généraliser les composteurs collectifs dans les parcs de la ville, végétaliser la ville, créer un lieu dédié à la participation citoyenne, réaménager la place Chapou, valoriser l’ensemble des tours médiévales de Cahors, développer le télétravail…

Concernant le stationnement, le candidat souhaite « offrir des places supplémentaires, certaines gratuites, d’autres payantes ». Pour atteindre cet objectif, il envisage de doubler la capacité du parking de la gare SNCF (de 140 à 300 places), créer un parking dans la cour d’honneur de l’hôpital dédié aux consultations et construire un nouveau parking sur l’ancien site des mutuelles, quai de Regourd.

Concernant la valorisation des mobilités douces (marche à pied, vélo), la liste « L’avenir en confiance » veut s’appuyer sur la future voie verte, « une autoroute du vélo qui va traverser la ville ». Côté sécurité, elle propose d’équiper la ville de caméras mobiles, qui peuvent être utilisées en fonction des besoins (problème de bruit, de trafic… dans un quartier).

« Nous sommes les seuls à proposer un document aussi réfléchi, nourri, financé et crédible. J’annonce ce que je peux tenir. »

 

Réunions publiques jeudi 27 février 2020 à 18 h 30 à la Maison Mémoire du XXe Siècle à Terre Rouge ; lundi 2 mars 2020 à 19 h à l’école Jean Calvet ; mardi 3 mars à 18 h 30 à la salle des fêtes de Lacapelle ; jeudi 5 mars à 18 h 30 à la Maison du citoyen de La Croix de Fer ; lundi 9 mars à 18 h 30 à la salle des fêtes de Bégoux. Meeting le mercredi 11 mars à 20 h 30 à l’espace des congrès Clément-Marot.
Site : https ://jmvf2020.fr/

Notre critique ciné de la semaine : Le cas de Richard Jewell

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Cette semaine, c'est "Le cas de Richard Jewell" qui passe sous la plume critique de Fabrice Simon

Cette semaine, c’est « Le cas de Richard Jewell » qui passe sous la plume critique de Fabrice Simon (©Claire Folger)

Ambiguïté des personnages (soulignée par une lumière, en clair-obscur, devenue la marque fabrique du réalisateur), fatalité du destin, critique de l’état fédéral et des médias ; tous les thèmes chers à Clint Eastwood se retrouve dans sa dernière réalisation, «Le Cas de Richard Jewell», sortie sur les écrans mercredi dernier.

A travers le portrait sensible d’un héros simple devenu le coupable désigné d’un acte terroriste pendant les J.O. d’Atlanta en 1996, le cinéaste californien démontre l’impressionnante maîtrise de sa réalisation.

« L’un des meilleurs films de l’année »

Aidé par un scénario solide et une interprétation sans faille, ce long-métrage porte indéniablement la marque des très grands films de l’une des dernières légendes d’Hollywood.

Plaçant son héros au cœur de la machine judiciaire étasunienne, Eastwood délivre, au passage, un regard plein d’interrogations polémistes sur l’un des piliers de la démocratie de son pays.

Et met en scène ce qui s’avère comme l’un des meilleurs films de cette année cinématographique.

Fabrice SIMON

Le cas de Richard Jewell
De Clint Eastwood (2h09)

Accident sur l'A104 à Villepinte : la circulation est totalement bloquée

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Un accident s'est produit sur l'A104 entre deux véhicules ce mercredi 26 février 2020.

Un accident s’est produit sur l’A104 entre deux véhicules ce mercredi 26 février 2020. (©Nationale 2 infos)

Un accident s’est produit sur l’A104 (Francilienne), à hauteur de Villepinte (Seine-Saint-Denis), dans le sens Paris – Soissons.

Lire aussi : RER B : le trafic interrompu entre Aulnay-sous-Bois et Roissy-Charles-de-Gaulle

Il était environ 11h40 quand deux véhicules se sont percutés sur l’A104 ce qui a fortement impacté la circulation sur cet axe très emprunté.

Circulation difficile

Les secours sont arrivés sur place et une voie a été fermée à droite en attendant la fin de l’intervention.

La circulation est très difficile, suite à cet accident, sur la Francilienne.

Circulation difficile sur l'A104, mercredi 16 février 2020.

Circulation difficile sur l’A104, mercredi 26 février 2020. (©Google Maps)

55 arbres plantés autour de l’étang d'Athis-de-l'Orne par les enfants de l'école du Sacré-Coeur

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Les enfants ont pris du plaisir à planter un arbre sur le site de l'étang de la Queue-d'Aronde, à Athis-de-l'Orne.

Les enfants ont pris du plaisir à planter un arbre sur le site de l’étang de la Queue-d’Aronde, à Athis-de-l’Orne. (©L’Orne combattante)

Ils devaient venir sur deux jours, mais au vu du temps désastreux du jeudi 13 février 2020, ce sont tous les élèves de cours élémentaire et du cours moyen de l’école athisienne du Sacré-Cœur qui se sont rendus, vendredi 14 février, aux côtés de parents et de professeurs à l’étang Queue-d’Aronde dans le cadre d’un projet lié à l’environnement.
Suite à une animation de balade découverte de la haie non loin de l’étang en novembre, les enfants ont été conviés, aux côtés du  CPIE des collines normandes et de l’association Environnement et vie en vallée du Noireau (AEVN), à planter des arbres.

Un modèle type de haie

Les enfants ont découvert tous les arbres qu’on pouvait avoir dans une haie bocagère, contextualise Brigitte Duquesnay, présidente de l’AEVN. Ils ont donc essayé de reproduire une haie bocagère, qui sera un modèle type de tout ce qu’on peut retrouver dans une haie, qu’il s’agisse d’un refuge de biodiversité, c’est quelque chose de fondamental. 

Noisetiers, hêtres, merisiers… Au total, il y a 15 essences d’arbres différentes, quatre arbres de haut jet ainsi que divers arbustes.

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Sensibiliser enfants et parents

En présence de François Baille, adjoint à la mairie déléguée d’Athis-de-l’Orne, représentant le maire, la municipalité se dit très favorable à ce genre de projet.

Plus de 100 m de haie sont plantées, se réjouit l’élu. L’idée de l’école est d’associer un arbre à un élève et on espère qu’ils verront comment leur arbre aura poussé.

Ainsi, 53 arbres ont été plantés par leurs soins ainsi que deux par les professeurs. Chaque arbre appartient à un enfant. Leur prénom sera ajouté lorsqu’ils auront poussé. Ce projet émane du projet Aux haies citoyens, une initiative du CPIE des Collines normandes.

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C’est bien de pouvoir sensibiliser les enfants, ils peuvent être porteurs de ce projet.

Dans les trois prochaines années, il sera nécessaire de tailler les arbres. Le CPIE va proposer des ateliers pour apprendre aux curieux à tailler un arbre.

Météo. Fini la neige, mais un temps encore très agité sur Vire Normandie et ses environs

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Le chasse-neige était de sortie, mercredi 26 février 2020 dans la matinée, sur les routes de Champ-du-Boult Calvados).

Le chasse-neige était de sortie, mercredi 26 février 2020 dans la matinée, sur les routes de Champ-du-Boult Calvados). (©La Voix Le Bocage)

La grêle, la neige, 1 °C… L’hiver a décidé de nous rendre visite le temps de quelques heures mercredi 26 février 2020. Un léger saupoudrage a recouvert les collines du Bocage, rendant parfois les conditions de circulation délicates, comme à Champ-du-Boult (Calvados) où la déneigeuse est passée gratter et saler la chaussée quelque peu blanchie.

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Sur l’A84, au niveau de Villedieu-les-Poêles (Manche), un poids lourd a été surpris par la route glissante et s’est retrouvé en « portefeuille ».

La suite des événements, sans qu’elle ne soit blanche, restera bien grise. Dès jeudi 27 février, une perturbation aborde l’ouest en fin de nuit. Les températures, bien basses, de l’ordre de 2 ou 3 °C, remonteront en quelques heures à 10 °C grâce au flux qui s’orientera au sud-ouest au passage du front pluvieux.

Dans l’après-midi, des rafales de 80 km/h viendront faire vaciller une nouvelle fois les cimes des arbres du Bocage.

Fortes pluies, 4 °C en journée

Le mercure plongera la nuit suivante avec un thermomètre proche des gelées.

Vendredi 28 février, rebelote. De nouvelles pluies, assez faibles, traverseront Vire Normandie (Calvados), Noues-de-Sienne, Les Monts d’Aunay… Elles s’amplifieront le lendemain, samedi 29 février, avec un vent aussi fort que jeudi. On pourra frôler les 90 km/h vers Villers-Bocage.

Lire aussi : Avec le réchauffement climatique, la Normandie pourrait-t-elle être privée de neige ?

À noter que ces fortes pluies, avec un vent orienté à l’ouest, nord-ouest, l’après-midi, feront pâlir le mercure puisqu’en matinée, bien que les 10 °C soient atteints, 3 à 4 °C sont attendus en début d’après-midi. La journée dominicale sera, quant à elle, rythmée par un régime de petites averses.

Pour la semaine suivante, les modèles météorologiques restent encore incertains, notamment sur la chronologie des événements. Une chose est sûre, un ciel chaotique devrait encore régner.

VIDEO & PHOTOS Perros-Guirec. Municipales : une heure de débat entre les trois candidats

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Pierrick Rousselot, Sylvie Bourbigot et Erven Léon, candidats à la mairie de Perros-Guirec, ont débattu prendant une heure à la radio Océane

Pierrick Rousselot, Sylvie Bourbigot et Erven Léon, candidats à la mairie de Perros-Guirec, ont débattu pendant une heure à la radio Océane (©Le Trégor)

Un débat d’une heure entre les trois candidats à la mairie de Perros-Guirec. Mardi 25 février, Le Trégor, en partenariat avec la radio Océane FM, a organisé un face-face entre les trois élus dans les locaux de la radio à Lannion.

Pierrick Rousselot, actuel maire de Saint-Quay-Perros, Sylvie Bourbigot, élue dans l’opposition, et Erven Léon, maire sortant, ont confronté, parfois sans ménagement, leurs points de vue.

Tous mettent du vert dans leur programme mais quelles seront leurs actions concrètes en faveur de l’environnement s’ils sont élus ? Quel tourisme demain pour Perros ? Il a été aussi question de l’avenir des ports, des aménagements souhaités pour Ploumanac’h… 

 

Le débat :

Ecoutez l’intégralité du débat  :

Le débat est également relayé sur le site internet de la radio Océane, en podcast. 

Pourquoi votez pour eux ? La vidéo : 

Les images du débat

 

Lire aussi : Municipales. À Perros-Guirec, Erven Léon présente ses colistiers

 

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Lire aussi : Municipales. À Perros-Guirec, Pierrick Rousselot présente ses colistiers

Municipales 2020 : à Ploërmel, les candidats répondent en vidéo à vos questions (1/6)

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La problématique

Les candidats aux municipales à Ploërmel (Morbihan) ont été interpellés par un habitant sur la qualité de l’eau du lac au Duc. (©Archives Le Ploërmelais)

Le Ploërmelais a donné la parole aux habitants de Ploërmel (Morbihan) sur le marché pour s’adresser aux candidats en vue des élections municipales de 2020.

Première question de Joseph, 65 ans, sur la qualité de l’eau du lac au Duc :

Retrouvez tous les midis, pendant six jours, la question des habitants et les réponses des candidats.


Essonne. Destiné à ouvrir en 2024, l’hôpital Paris-Saclay se dévoile

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Le nouvel hôpital devrait ouvrir au public en 2024

Le nouvel hôpital devrait ouvrir au public en 2024 (©DR)

On en sait désormais un peu plus sur le futur hôpital Paris-Saclay qui regroupera les sites de Juvisy, Longjumeau et Orsay et dont le projet est porté par le groupe Hospitalier Nord Essonne (GHNE).

Une démarche de soins d’excellence et de recherche

Dans une vidéo publiée ce mardi 25 février, ce nouvel hôpital s’est dévoilé un peu plus via une visite virtuelle de ses bâtiments qui doivent sortir de terre en 2024. Ce dernier s’appuiera de la richesse industrielle et universitaire du plateau de Saclay et bénéficiera d’une proximité directe du CEA qui y installera son futur bâtiment de recherche en contiguïté.

D’une surface de 45 000 m², le centre hospitalier proposera 416 lits avec 90% de chambres individuelles, 10 salles de bloc opératoire. 3 000 naissances par an sont envisagées tout comme près de 85 000 passages aux urgences.

Cet hôpital moderne, sera doté des techniques médicales innovantes et porté sur une offre de prise en charge résolument tournée vers l’ambulatoire.

Un lourd investissement de 215 millions d’euros

L’arrivée de ce futur hôpital aura pour objectif de maintenir les soins de proximité et pallier la désertification médicale dans le nord de l’Essonne. Cédric Lussiez, directeur du GHNE, se félicite de la construction de ce nouvel établissement de santé. « Le projet 2024 est un moteur indispensable pour le GHNE. Il est le fruit d’un travail collectif considérable entre les équipes médicales, soignantes et l’ensemble des acteurs du territoire (partenaires, usagers, élus, collectivités, EPA Paris-Saclay,…) ».

Au total, 215 millions d’euros seront investis dans ce projet « Hôpital 2024 » afin de permettre la rénovation et la restructuration de l’offre de soin du territoire. Ce financement qui est en partie soutenu par les pouvoirs publics avec 50 M€ alloués par le ministère de la Santé auxquels s’ajoutent 15 M€ accordés par l’Agence régionale de santé.

3 hôpitaux toujours en activité, mais restructurés

Les trois hôpitaux d’Orsay, Juvisy et Longjumeau, menacés d’une fermeture totale il y a quelques années, poursuivront leurs activités, mais feront l’objet d’une restructuration. L’arrivée de ce nouvel hôpital regroupant ces trois derniers, sera accompagné d’une réorganisation innovante pour les structures de proximité : 3 bases SMUR seront maintenues sur le territoire à savoir Saclay, Longjumeau et Juvisy.

Les activités de soins de suite et de réadaptation seront quant à elles regroupées sur Orsay et la psychiatrie sera maintenue sur le site de Bures-sur-Yvette. « Ce nouveau maillage de l’offre de soins vise à offrir à la population à la fois un accès aux soins aigus à la hauteur de l’excellence des soins hospitaliers publics, et à préserver une offre de soins de proximité, tournée vers les urgences, le suivi des pathologies chroniques et les personnes âgées », explique-t-on du côté de la direction de l’hôpital.

La répartition de l'offre de soins

La répartition de l’offre de soins (©DR)

Les opposants toujours aussi déterminés

Mais ce projet est loin de faire l’unanimité. Réunis au sein du Comité de défense des hôpitaux du Nord-Essonne, plusieurs riverains remettent en cause « l’excellence de soins », vendue par la direction du GHNE. « La centralisation des services en un seul hôpital va entraîner ne va pas répondre à la désertification médicale. au contraire, elle va l’accentuer », lançaient d’une seule et même voix des membres de ce collectif, interrogés il y quelques semaines. 

Pour eux, Les secteurs autour de Juvisy, assez denses en termes de population seraient « les grands perdants » de cette refonte de l’offre de soins. « Conserver une activité réduite n’est qu’un sparadrap sur une jambe de bois. Rien ne dit que cette activité s’inscrira dans le temps », soufflent-ils.

Un sujet encore très tendu qui s’exporte également dans la campagne des élections municipales. A Juvisy-sur-Orge, comme à Longjumeau, différentes listes ont fait de la sauvegarde de cette offre de soins, leur combat numéro 1.

Innovation dans le Lot. Jean Landes crée la société d'écopâturage « M. Mouton »

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Jean Landes, créateur de la société d’écopâturage « M. Mouton »

Jean Landes, créateur de la société d’écopâturage « M. Mouton » (©DR )

Jean Landes, alternant en école de commerce, âgé de 23 ans, lance sa société d’écopâturage, dans le Lot.

L’écopâturage c’est le retour à un entretien traditionnel grâce aux animaux, une pratique écologique, responsable et attractive.

Très en vogue dans l’ouest de la France, l’écopâturage s’adresse aux collectivités et aux entreprises, cela leur permet notamment de mettre en avant leur engagement pour l’environnement.

En faveur de l’amélioration du cadre de vie

En plus de s’inscrire dans le cadre des certifications ISO 14001 et Haute Qualité Environnementale, l’écopâturage participe à l’amélioration du cadre de vie des salariés, voisins, patients ainsi que des sites sur lesquels elle est pratiquée.

« J’ai souhaité créer « Monsieur Mouton » pour développer l’écopâturage sur notre territoire et offrir à tous une solution simple à savoir : installer des moutons sur vos pelouses pour un entretien écologique et économique et ce, tout au long de l’année. Je propose une solution clé en main de gestion des animaux et de vos espaces verts, ce qui vous permettra de profiter du service en toute tranquillité » déclare Jean Landes.

Les rendez-vous avec la commission Environnement de Cauvaldor et avec le Président du Grand-Figeac sont essentiels pour le lancement de ce projet.

Loire-Atlantique : pour trouver son nouvel associé, l'agriculteur lance un appel sur Facebook

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Corentin Zumkeller est l'un des associés de la GAEC de la Savinais à Besné

Corentin Zumkeller est l’un des associés de la GAEC de la Savinais à Besné (©L’Écho de la Presqu’île)

« Corentin, 28 ans, installé depuis 2015 en GAEC à trois sur la commune de Besné recherche un associé pour pallier un départ en retraite »… Voilà l’annonce que Corentin Zumkeller, agriculteur à Besné, près de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) a posté sur son compte Facebook samedi 15 février 2020. Une semaine plus tard, elle comptait déjà plusieurs milliers de partages dans toute la France.

Corentin, 28 ans, installé depuis 2015 en GAEC a 3 sur la commune de Besne (44 – proche axe Nantes/St Nazaire) recherche…

Publiée par Corentin Zumkeller sur Vendredi 14 février 2020

 

Des partages, des propositions de salariat oui, mais personne pour devenir associé. Pour l’instant

Dans sa ferme de la Savinais à Besné, Corentin Zumkeller garde espoir malgré tout. « Cela fait cinq ans que je cherche ». À 28 ans, il ne peut pas faire tourner l’exploitation seul.

Même si on reste à taille humaine, ce n’est pas possible.

Problème : ses deux autres associés, Alain et Madeleine Barbin, ont bientôt l’âge de partir en retraite.

« Cela tourne bien »

Corentin a d’abord été salarié dans l’exploitation, avant de devenir associé. Salle de traite, nurserie pour les veaux : ces dernières années, il s’est chargé de la modernisation de la ferme en investissant beaucoup. « Raisonnablement », précise-t-il.

De quoi être plus à l’aise dans le travail et gagner du temps.

Avec 80 vaches laitières, 700 000 litres de lait sans OGM, « aujourd’hui, cela tourne bien. On vend la viande labellisée de Brière ».

L’idée était aussi de pouvoir attirer des associés éventuels. La ferme a déjà accueilli une personne en essai, sans résultat. « On fait tout ensemble », alors autant dire que la longueur d’onde doit approcher la perfection.

Cela fait deux ans que l’on est inscrit au RDI, le registre de la Chambre d’agriculture sur les départs et installations. Mais il n’est consulté que par les personnes du monde agricole.

Lire aussi : Avec ses 38 000 abonnés, cet agriculteur veut changer le regard sur sa profession

« On est ouvert à tout le monde »

Voilà comment Corentin Zumkeller en est arrivé à lancer son appel sur Facebook.

C’est la force des réseaux sociaux. On est ouvert à tout le monde, même quelqu’un qui n’est pas du milieu et qui veut changer de vie.

Lui le sait bien : adolescent, il se voyait plutôt dans le monde paysagiste.

Mais le contact avec les animaux me manquait. Agriculteur, c’est un beau métier touche-à-tout, on bricole, on gère… Il faut être débrouillard. Et il existe une vraie solidarité. On est riche de ça et les réseaux sociaux nous ont beaucoup aidés à cela, pour trouver ou donner de la paille, des bêtes.

En espérant que l’appel soit à nouveau entendu.

Utile
Les personnes intéressées peuvent contacter Corentin Zumkeller au 06 10 31 01 34.

Lire aussi : En Loire-Atlantique, un agriculteur se lance dans la culture du thé pour créer une filière locale

Gironde. Saint-Macaire : le vélo d'un cycliste happé par un train TER

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Le TER a été stoppé sur les voies SNCF à Saint-Macaire (Gironde), jeudi 27 février 2020 après avoir heurté un vélo.

Le TER a été stoppé sur les voies SNCF à Saint-Macaire (Gironde), jeudi 27 février 2020 après avoir heurté un vélo. (©Le Républicain – Illustration)

Vers 8h jeudi 27 février 2020, un cycliste a posé son vélo près des voies du chemin de fer, au niveau de l’ancienne gare de Saint-Macaire (Gironde).

Lors du passage d’un train TER sur la ligne Bordeaux-Agen, le vélo a été happé, sans doute par l’appel d’air provoqué selon les éléments recueillis par les gendarmes.

Lire aussi : Gironde. Verdelais : un homme blessé par des tirs de plombs d’un cambrioleur

Fort heureusement, le cycliste, qui n’était pas près de la voie n’a pas été blessé.

Le TER a dû s’arrêter sur la voie

Le train TER a stoppé quelques mètres plus loin. Gendarmes et pompiers ont été appelés sur place.

Le train a pu reprendre sa route peu après. 

Lire aussi : Dordogne. 40 armes et 1.500 cartouches… La découverte stupéfiante des gendarmes

La foire d'art contemporain Art Up ! de Lille s'invite aussi à la Manufacture de Roubaix

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La broderie dans tous ses états à Roubaix, c'est à la Manufacture de Flandre !

La broderie dans tous ses états à Roubaix, c’est à la Manufacture de Flandre ! (©Manufacture Roubaix)

La Manufacture de Roubaix (Nord) participe cette année à la foire d’Art contemporain Art Up ! 2020, dont la thématique est « Au fil de l’Art ». Rendez-vous les samedi 7 et dimanche 8 mars pour des rencontres d’artistes et des ateliers.

Ce sera l’occasion pour le musée roubaisien de la mémoire et de la création textile de présenter un échantillon de sa programmation à venir : expositions temporaires, biennale Objet Textile et ateliers. Les artistes Lada Neoberdina, Mai Tabakian, Amélie Lemonnier seront présentes.

Lada Neoberdina réalisera une fresque in situ pour l’occasion et y présentera ses « broderies urbaines ». Mai Tabakian – artiste franco-vietnamienne – présentera des sculptures impressionnantes, basées sur un travail textile architectural et sculptural entre couture, suture et matelassage.

Disques de coton démaquillant

Amélie Lemonnier présentera son projet artistique « Rituel du soir ». Artiste textile et créatrice au crochet sous le nom de l’aumônière, Amélie Lemonnier vit et travaille à Roubaix, aux ateliers Jouret. Dans le projet « Rituel du soir », ses compositions textiles sont réalisées avec des disques de coton démaquillant usagés crochetés ensemble.

Le disque de coton est la matière première, matériau pauvre, considéré comme un déchet pourtant chargé de sens et de matières, réceptacle des émotions vécues et perçues tout au long de la journée. Dans cette œuvre, elle interroge la féminité et l’intimité en mettant en lumière une poésie du quotidien délivrée des artifices.

Lire aussi : Grand entretien. Lille : Didier Vesse nous dit presque tout sur Art Up !, qu’il dirige depuis 10 ans

Atelier broderie

Un atelier d’initiation broderie sera également proposé les 7 et 8 mars sur place. Il s’agit d’une initiation à la broderie sur papier en transformant des cartes postales anciennes en un objet graphique et coloré. 

Ces ateliers – accessibles aux débutants – sont proposés en lien avec l’exposition en cours « Broderie, point de départ », visible jusqu’au 29 mars 2020.

Infos pratiques :
Samedi 7 et dimanche 8 mars 2020, de 14 h à 18 h, accès libre, dans la limite des places disponibles. Plus d’infos sur le site officiel de la foire.

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