Une défaite, deux, trois… L’élimination par les amateurs de Saint-Pryvé / Saint-Hilaire (Loiret), dixième défaite d’affilée, a été celle de trop pour Toulouse, et Antoine Kombouaré, arrivé à la mi-octobre en pompier de service à la place d’Alain Casanova, a été démis dimanche 5 janvier 2019 de ses fonctions.
Pour le remplacer, le président Olivier Sadran a désigné Denis Zanko, le directeur du centre de formation, arrivé en 2017 sous l’impulsion de Pascal Dupraz, à l’époque entraîneur du TFC et artisan d’une opération maintien réussie au printemps 2016, malgré 10 points de retard à 10 journées de la fin. Un exemple à rééditer…
Olivier Sadran, dix minutes chrono
Un communiqué laconique du club a officialisé dimanche, en milieu de matinée, le départ de Kombouaré et la prise de fonction de Zanko. Auparavant, le président Olivier Sadran, arrivé dans les vestiaires à 10h25, avait annoncé lui-même aux joueurs ces deux informations. À 10h35, le patron du club était reparti alors que le groupe partait, lui, en stage en Espagne pour préparer la venue de Brest.
Des supporters en colère
La nomination de Denis Zanko risque de ne pas suffire pour enrayer la crise du club. Depuis plusieurs semaines, une frange des supporters réclame aussi la tête du président délégué Jean-François Soucasse. Samedi, ils ont même contraint l’arbitre à stopper le match une dizaine de minutes, après avoir jeté des fumigènes.
Lors de la venue de Reims à la mi-décembre (0-1), un premier incident avait déjà opposé des supporters, qui s’étaient approchés de la loge présidentielle, à des stadiers. En réponse, le club avait proposé de rembourser les abonnements à tous les fans mécontents. Cela n’avait pas franchement apaisé les tensions.
Kombouaré, un sacré bilan
Kombouaré laisse un club dans une situation catastrophique : dix défaites de rang toutes compétitions confondues, pire série de l’histoire du club, une dernière place de L1 avec 12 points, la pire défense (39 buts) et la 15e attaque (19 buts). Et un club éliminé des deux coupes nationales.
L’histoire entre Toulouse et Kombouaré avait pourtant débuté sous les meilleurs auspices. Après l’annonce du départ mi-octobre d’Alain Casanova, officiellement une décision commune du club, classé 18e, et du technicien, Kombouaré était arrivé avec son discours guerrier pour regonfler un moral de joueurs déjà bien entamé.
Dans son style habituel, avec la recette qui lui avait permis de sauver in extremis Dijon (Côte-d’Or) la saison précédente, Kombouaré, 56 ans, passé aussi par Strasbourg, Valenciennes, le Paris SG, Al-Hilal, Lens, et Guingamp voulait des joueurs avec de la hargne, n’hésitant pas à « aller au tampon »…
Il faut retrouver un état d’esprit, une mentalité, parce que c’est dans les têtes que ça se passe ! Redonner confiance, redonner le goût d’aller mettre des tampons, se faire respecter… Un match de foot c’est un rapport de force, et il faut le relever.
Le premier match avait fait naître des espoirs. Dans le schéma de jeu qu’il privilégie, le 4-4-2, le technicien kanak avait passé avec brio son examen d’entrée : le TFC s’était imposé avec la manière devant Lille (2-1). Mais l’effet Kombouaré n’a visiblement duré qu’un match…
La situation s’est dégradée après la défaite contre Lyon, sa deuxième, concédée dans le temps additionnel (3-2). D’autant qu’il a été suivi d’un match totalement manqué à Montpellier (3-0). Le début d’un cycle infernal, dont l’équipe ne s’est plus sortie.
Kombouaré, qui conservait officiellement un discours offensif, a cherché la solution pour stabiliser sa défense, la base à ses yeux de la reconstruction. Il a multiplié les schémas tactiques, en vain. Entre les blessures, les suspensions ou les recrues qui déçoivent (Nicolas Isimat-Mirin, Agustin Rogel), Toulouse a poursuivi sa chute libre.
Le mercato hivernal aurait pu être sa planche de salut… Mais contrairement aux attentes, il n’y a eu pour l’instant qu’un seul renfort, le défenseur norvégien Ruben Gabrielsen. « On veut d’autres joueurs », affirmait vendredi Kombouaré. Il n’aura pas le temps de les voir arriver…
Denis Zanko, qui prend la succession au pied levé, est le neuvième entraîneur de l’ère du président Olivier Sadran après Erick Mombaerts (2001-2006), Élie Baup, (2006-2008), Alain Casanova (2008-2015 et 2018-oct 2019), Dominique Arribagé (2015-2016), Pascal Dupraz (2016- jan 2018), Mickaël Debève (jan 2018- juin 2018) et Antoine Kombouaré (oct 2019-jan 2020).
Ce n’est pas un novice. Il a été à la tête de Valence, du Mans et de Laval en Ligue 2. À chaque fois, il est parvenu à maintenir son équipe. Mais sans jamais confirmer la saison d’après. Cette fois, de toutes les façons, c’est le maintien qu’on lui demande… Peu disert depuis le début de la crise, le président Olivier Sadran a prévu de s’exprimer face à la presse lundi 6 janvier, en fin de journée. L’opération sauvetage ne fait que commencer.
Depuis deux mois, le Vauréal boxing club (VBC) compte dans ses rangs une sacrée référence.
Détentrice de quatre ceintures mondiales différentes (GBU, WBF, WIBF, CBU) chez les super-légers (-63,5 kg), Prisca Vicot est la boxeuse française en activité la plus capée chez les professionnelles et la mieux placée pour battre les records nationaux d’Anne-Sophie Mathis (treize Championnats du monde, six ceintures distinctes conquises).
Le 8 février 2020, à Gary dans l’Indiana (États-Unis), la protégée d’Arno Djouadou disputera, face à la Grecque Christina Linardatou (n° 4 mondiale), son 7e Championnat du monde et briguera sa 5e ceinture mondiale (la WBO).
Débuts pros à 35 ans
Passée par la self-défense et le pieds-poings (championne d’Europe 2006 en full-contact), le brigadier de police au sein de la PJ de la Préfecture de Paris a un parcours atypique, parsemé de difficultés qui l’ont forgée.
« J’ai commencé ma carrière professionnelle en boxe anglaise à 35ans, âge où la plupart des filles ont déjà raccroché les gants. J’ai commencé par trois défaites, qualifiées de vols. Mais je ne me suis pas découragée et j’ai décroché trois titres nationaux entre 2012 et 2014 », raconte-t-elle.
Qu’importe l’absence de soutien de la Fédération Française de Boxe. Elle part s’entraîner en Allemagne ; reçoit un coup de main de la Ville d’Argenteuil et du Coma ; fait 4 à 6 h de sport par jour ; finance de sa poche ses déplacements, ses sparring-partners et l’organisation de ses combats (10 000 € par match).
Puncheuse
« Lorsqu’on me ferme une porte, je reviens par la fenêtre. Je ne lâche rien ! », confie Die Kriegerin (La guerrière), surnom trouvé par son fan-club allemand situé à Karlsruhe.
Même son Championnat du monde perdu en 2019 face à l’invaincue Melina Kummer a été bénéfique.
« Mon style d’attaquante a plu et ma crédibilité a été renforcée. Mon punch et mon sens du travail au corps sont à double tranchant. Mais je n’ai jamais perdu par KO et cela m’a permis de battre la Géorgienne Chakhvashvili, la Bosniaque Malagic et l’Ukrainienne Medvedenko pour être championne du monde », précise la boxeuse qui s’entraîne au gymnase La Bussie (Vauréal) et est suivie par un team franco-anglais comprenant le préparateur physique David Kuperminc, le cutman Richard Farnan et l’agent Frank Pittal.
En 2020, elle espère trouver des sponsors pour sa quête de nouvelles ceintures. À bon entendeur.
Le Vauréal boxing club n’a pas mis longtemps à se distinguer. Dès sa deuxième saison, il a été le club le plus représenté aux Championnats de France de boxe éducative assaut, avec cinq licenciés qualifiés.
« 9 de nos 12 jeunes ont décroché le titre départemental et un podium régional. Au National, nos cadets ont atteint au minimum les quarts de finale : Lounès Zitouni (1er en -51 kg), Nassim Abderebbi (2e en -54 kg), Adam Mebtoul (5e en -60 kg) et Thomas Contini (5e en -76 kg). Notre minime Fayçal Anaflous s’est incliné en huitième de finale des -36 kg », retrace Arno Djouadou, le fondateur du club, fort de 35 ans de pratique dans le »noble art » et formidablement épaulé par sa femme Sony (présidente) et ses fils Andji (coach) et Edwin (boxeur de niveau national).
Cet entraîneur passionné, qui fit ses classes à Asnières BC puis au Rahilou Cergy Boxe, a insufflé ses valeurs : respect, maîtrise de soi, lutte contre les incivilités, engagement et travail. Pour sa 3e saison, son club réunit déjà 180 adhérents (dont 40 % de femmes), engage sept compétiteurs aux Championnats de France amateurs au mois de janvier et verra Prisca Vicot tenter de décrocher sa 5e ceinture mondiale professionnelle chez les super-légers (-63,5 kg), le 15 février à Gary (Indiana, États-Unis).
Tout avait bien commencé pour les protégées de Romain L’Hermitte. Après deux/trois minutes de chauffe, les Mondevillaises prennent la mesure de leurs adversaires avec une Louise Bussière cumulant déjà 9 unités. L’USOM prend 9 longueurs d’avance (14-23) mais l’entraîneur n’est pas entièrement satisfait : « On aurait pu être à +15 ou +17, on pratique un meilleur basket, il y a des solistes en face, nous, on fait bien bouger la balle. » Les six ballons perdus n’ont sûrement pas aidé à atteindre l’écart souhaité par le coach.
Les Normandes font monter l’écart à +12 dans lors du deuxième acte. Angers se décide à jouer juste avant la mi-temps. Le trio Arrondo – Gandega – Clarke s’occupe du scoring pour ramener les Angevines à un point (35-36).
Et vint le dernier quart…
Après la pause, l’USOM va recréer un petit écart avec une Bussière décidément très en vue : « Louise est excellente aujourd’hui, elle franchi palier après palier mais ça reste une jeune joueuse. On doit capitaliser là-dessus et espérer que ce genre de performance se répète. » Mais ledit écart est de nouveau comblé par Angers. 52-55 après une demi-heure de jeu.
Dans les dix dernières minutes, Angers va finalement prendre l’avantage, menant même de 7 points à trois minutes du terme suite à un 3-points de Dreano—Trecant.
Kim Gaucher-Smith et Ewl Guennoc entretiennent l’espoir avant qu’un panier d’Arrondo ne scelle le sort du match. Défaite 73-67 des Mondevillaises qui reviennent du Pays de la Loire avec un bilan désormais négatif de 4 victoires pour 5 défaites.
On ne respecte pas les jeunes, donc on ne respecte pas Mondeville
La situation semble de plus en plus alarmante vue de l’extérieur, même si tout ne fut pas à jeter dans ce match. Plutôt que de s’axer sur la défaite, Romain L’Hermitte se dit à nouveau impressionné par les progrès de ses joueuses, même s’il admet qu’il manque encore le ‘killer instinct’ : « L’équipe a progressé et notre marge est encore énorme. Je sais que l’équipe sera encore bien meilleure en fin de saison. On ne va pas tirer la sonnette parce qu’on perd à Angers, le match qu’on ne doit pas perdre, c’est Aulnoye où on s’effondre. Aujourd’hui, c’est un peu pareil, on n’est pas des tueurs. » Il va vite falloir le devenir où les objectifs seront obligatoirement revus à la baisse.
Côté stats, outre les 23 points de Louise Bussière (4/8 à 3-points), on notera une Jodie Cornelie-Sigmundova pas si loin du triple-double (6 points, 10 rebonds, 8 passes). Mais en face, Isis Arrondo était au four et au moulin : 14 points, 7 rebonds, 10 passes.
Rapidement pénalisée par les fautes, Berengere Dinga-Faustino n’a passé que onze minutes sur le parquet.
Vous le savez, le coach des Lionnes s’est déjà plaint du traitement réservé à ses joueuses par le corps arbitral. Avec 21 fautes et 8 lancers-francs tentés par l’USOM contre 10 fautes et 22 lancers pour les locales, la colère a laissé place à la résignation : « Bérengère (Dinga-Faustino) et Aminata (Gueye) se font rapidement siffler deux fautes, Clarke finit avec aucune faute, je crois qu’Angers prend sa première faute au bout de douze minutes de jeu (ndlr : 10:26 en fait), j’ai deux joueuses d’1m93 dans la raquette et on ne provoque que dix fautes… On ne respecte pas les jeunes, donc on ne respecte pas le club de Mondeville. Mais je ne pleure pas, c’est tous les matches comme ça, à nous d’aller chercher ailleurs les 15 points qu’on ne nous donne pas aux lancers. »
Mondeville aura pour impératif de rebondir dès samedi prochain à domicile. Avec un calendrier plutôt clément (Rezé, Calais, La Tronche et le Centre Fédéral, que des équipes en deuxième partie de tableau et avec des bilans négatifs), l’USOM peut espérer doit faire une série et se rapprocher du trio de tête.
Dimanche 5 janvier 2020, un cycliste a été héliporté en urgence après avoir été grièvement blessé dans une collision avec une voiture sur la commune de Sallertaine.
Fin de matinée
Les services de secours sont alertés vers 11 h 15 qu’un accident de la circulation vient d’avoir lieu à l’intersection des chemins de la Copechagnière et de la Croix-Joslain.
Collision entre une voiture et un vélo
Une collision entre une voiture et un vélo a laissé le cycliste à terre. C’est le véhicule qui a percuté le deux-roues.
Huit pompiers de Saint-Gilles-Croix-de-Vie, La Garnache et Challans ainsi qu’une équipe du Samu interviennent. A l’arrivée des secours, le cycliste âgé de 71 ans est considéré dans un état grave, sévèrement touché aux membres inférieurs. Aucun pronostic vital n’est heureusement engagé.
Après un autre bilan médical, il est décidé de le transporter en urgence par hélicoptère sur le CHU de Nantes.
Choqué mais indemne, l’automobiliste a été laissé sur place.
Labellisée Communauté French Tech, puissant réseau mondial de l’innovation, l’association Digital Festival Tahiti devient officiellement La French Tech Polynésie. « Son objectif prioritaire est d’impulser la dynamique Tech4Islands, hub de l’innovation pour et par les îles, pour faire émerger, accompagner et propulser à l’international des solutions innovantes adaptées à nos spécificités insulaires et bonnes pour la planète », rappelle Muriel Pontarollo, sa déléguée générale tout récemment choisie par la Mission French Tech pour représenter les outre-mer au Conseil national des capitales et communautés French Tech. L’axe central est la préservation des océans et de la biodiversité, avec deux événements mondiaux organisés à Tahiti en 2020 : le concours international Tech4Islands Awards lancé en mars et le Tech4Islands Summit en octobre 2020. Une dynamique que la French Tech Polynésie est invitée à présenter cette semaine au plus grand événement mondial de l’innovation : le CES 2020 à Las Vegas qui revendique plus de 4 500 exposants et 200 000 visiteurs ! Une grande première pour la Polynésie qui fait son entrée au CES 2020 par la grande porte grâce à Marc-Lionel Gatto qui accueille la French Tech Polynésie pour la première fois au Village francophone, toute première représentation des Pays et territoires d’outre-mer français, et lui offre une remarquable tribune internationale pour présenter la Tech4Islands au MeetUp du 8 janvier consacré au Smart Territory.
La Polynésie, source d’innovation digitale
La portée internationale de la 3e édition du Digital Festival Tahiti en octobre 2019 à Tahiti et le succès du concours Tech4Islands Awards, première mondiale organisée par l’association pour faire émerger des solutions innovantes pour et par les îles (66 candidatures en provenance de dix pays et territoires d’outre-mer) confortent la Polynésie française dans son positionnement de terre d’innovation et invitent la French Tech Polynésie à propulser à l’international la dynamique Tech4Islands « pour faire émerger des solutions innovantes pour le développement harmonieux, écoresponsable et durable de nos territoires insulaires ». La French Tech Polynésie souligne que cette dynamique a été saluée par le Président de la République lors de son discours du 23 octobre 2019 à La Réunion. Emmanuel Macron avait en effet déclaré que les territoires d’outre-mer français « peuvent devenir de véritables hubs numériques ».
Tech4Islands a reçu également le soutien du Secrétaire d’État au numérique, Cédric O : “Le Digital Festival Tahiti a pris une place particulière dans l’univers de la French Tech, une place particulière sur la question des enjeux insulaires en réconciliant deux sujets qui nous tiennent aussi à cœur qui sont l’environnement et le numérique.” Ainsi que celui du président du Comité exécutif de l’Association des Pays et territoires d’outre-mer (OCT), Olivier Gaston, qui s’est engagé à proposer à l’équipe de l’OCTA de renforcer ses liens avec le Digital festival Tahiti.
L’économie bleue durable, axe central de la Tech4Islands
L’économie bleue durable reste l’un des axes prioritaires de la dynamique Tech4Islands. « Elle sera ainsi centrale dans la seconde édition du concours international Tech4Islands Awards 2020, qui sera lancé en mars 2020 et étendu en version bilingue français/anglais afin de mobiliser les forces d’innovation des secteurs académiques et entrepreneuriaux d’Océanie » explique Muriel Pontarollo. La préservation des océans et de la biodiversité sera aussi au cœur du “Tech4Islands Summit” qui succède au Digital Festival Tahiti et se tiendra en octobre 2020 à Tahiti, avec cette année une dimension régionale associant l’ensemble des Pays et territoires de la région Pacifique Sud.
• C’est donc la French Tech Polynésie, représentée par sa déléguée générale Muriel Pontarollo, qui a été choisie par la Mission French Tech pour représenter les outre-mer au Conseil national des capitales et communautés French Tech. Cette nouvelle instance de concertation et de co-construction des programmes à destination des écosystèmes territoriaux, composée de 22 membres, sera installée le 13 janvier prochain à Bercy sous la présidence du Secrétaire d’État Cédric O.
• La French Tech Polynésie sera également reçue à l’Elysée par le conseiller pour l’outre-mer du Président de la République, Stanislas Cazelles, le conseiller outre-mer du Premier ministre, Xavier Brunetière, ainsi que le cabinet de la ministre des Outre-mer Annick Girardin. Des rencontres sont aussi programmées à Bruxelles, notamment avec le président du Comité exécutif de l’OCTA, M. Olivier Gaston.
• Convergence des forces d’innovation, l’association La French Tech Polynésie fédère les startupeurs et entrepreneurs innovants polynésiens, en interactions avec les grandes entreprises, les universitaires, les chercheurs, l’ensemble des acteurs privés, académiques et publics de l’écosystème du Pays (Université de la Polynésie française, Consortium RESIPOL, Cluster maritime, CCISM et son incubateur PRISM, startup Club Tahiti, Open Polynésie, Sofidep, opérateurs publics et privés…) ainsi que les institutionnels, investisseurs, partenaires et ambassadeurs.
Il est 7 h 15 quand j’arrive sur le parking du stade Louis-Dior de Granville (Manche). Quatre bus sont stationnés et ils sont déjà bien remplis. J’achète un maillot blanc aux couleurs du club et une écharpe, puis je prends place à bord du car numéro 4, de la compagnie Lemare de Donville-les-Bains (Manche). « Je t’ai mis dans un bus familial, où tu seras bien », me glisse Laurent Boulouard, le directeur général de l’Union Sportive Granvillaise. Je trouve une place au fond. Peu de temps après, nous prenons la route en direction de Versailles (Yvelines).
« Purée, il fait nuit. Habituellement, c’est l’heure à laquelle je me couche », fait remarquer un supporter. « Moi, à 22 h 30, j’étais couché, indique Philippe, le capitaine de route de ce bus numéro 4. Je savais que la journée serait longue. » Au bout d’un petit quart d’heure de route, Yannick, notre chauffeur, prend la parole au micro, interrompant momentanément le sommeil de certains.
Nous allons directement au stade de Versailles, mais si nous sommes d’avance, nous ferons une petite halte sur l’aire de repos de Rosny-Sud. Vous avez des toilettes à bord. Elles ne sont à utiliser que pour les urgences. »
Ok Yannick ! Merci reçu cinq sur cinq.
En route pour Versailles à bord du car numéro 4 avec les supporters granvillais. Ambiance studieuse pour le moment. Le…
Certains reprennent la sieste là où ils l’avaient laissée, tandis que d’autres consultent les téléphones. Moi, j’ai décidé d’engager la discussion avec mes voisins. Il y a Philippe, qui ne manque aucun match de l’US Granville.
A domicile ou à l’extérieur, chaque samedi, je consacre ma journée à mon club de cœur. On est quelques-uns à les suivre partout, à Chartres, à Saint-Brieuc, à Vannes… »
Il y a Michel, qui est venu en famille.
Avec mon fils et mon gendre, mais ils sont dans un autre bus. »
Il y a Jessica, qui est accompagnée de ses filles.
Souvent, je ne suis pas grand chose du match. Je passe mon temps à prendre des photos des joueurs que je publie ensuite sur Facebook. »
Elle a créé sa propre page baptisée US Granvill’images. Et puis, il y a Louis, tout juste majeur. C’est le community manager du club.
Je gère les réseaux sociaux du club : le compte Twitter et la page Facebook. Etant originaire de Granville et fan du club, c’est vraiment plaisant. D’autant que je peux aller à la rencontre des joueurs et du coach. On a un contact privilégié avec eux. »
Il est environ 9 h 30 quand les premiers coups de klaxon retentissent.
Ce sont des Granvillais qui viennent à Versailles par leurs propres moyens. Ils ont repéré les bus, alors ils nous font signe. »
C’est le moment choisi par certains supporters pour boire les premières bières. « C’est qu’il commence à se faire soif. » Une vingtaine de minutes plus tard, au fond du car, le mégaphone entre en scène, avant de passer le relais à l’enceinte portative. Pour réveiller tout le monde, rien de mieux que le tube de Vegedream devenu culte « Ramenez la coupe à la maison ! », remixé à la sauce granvillaise. Les « allez les Bleus, allez ! » sont remplacés par les « allez Granville, allez ! ». S’enchaînent un air qui tourne en boucle au Carnaval de Granville, « La Granvillaise », puis un « Aux Armes ! ». Les chants terminés, il est temps de s’arrêter à l’aire de Rosny-Sud. Quinze minutes d’arrêt.
Je profite de la pause pour aller voir les membres de la Curva Nord. C’est le seul groupe officiel de l’US Granville.
Nous sommes une vingtaine d’adhérents. Nous l’avons créé il y a deux ans. C’est parti d’un délire entre copains. Il existe à Milan, la Curva Sud. A Louis-Dior, nous sommes toujours près de la buvette, située au nord. Mais plutôt que de l’appeler Kop de la route de Villedieu, nous avons opté pour la Curva Nord. »
Les copains de la Curva Nord ont tous leur propre carte, sur laquelle est inscrite la devise : « Toujours pas loin de la buvette ».
« Presque aussi nombreux qu’eux »
10 h 55. Nous reprenons la route. « Dans moins d’une heure, nous serons à Versailles. » Le voisin de Michel en profite pour sortir un cubi de rosé d’Anjou. « C’est l’heure de l’apéro, glisse-t-il. Qui en veut ? » Philippe, lui, vient de prendre un appel. C’est le référent sécurité du FC Versailles 78 qui vient aux nouvelles.
Il y aura une fouille à l’entrée, donc il faudra éviter les bouteilles avec bouchon. »
Versailles en vue, ça commence à s’agiter dans le bus. « C’est pas Versailles ici ! »« Allez Granville, allez Granville ! » Les quatre bus qui acheminent les supporters granvillais entrent dans le stade Montbauron de Versailles. Il est 11 h 45. Le coup d’envoi de la rencontre est à 13 h. Billet en main, fouille effectuée, on peut prendre place dans la grande tribune réservée aux visiteurs. Certains installent les banderoles à l’effigie de l’US Granville, de la ville et de la région Normandie, d’autres les tambours.
Pendant ce temps-là, le gros de la troupe est à la buvette. Moi compris. Un hot-dog halal ou un sandwich brie en guise de restauration. « Le choix est limité, font remarquer certains. Mais bon, ça fera l’affaire. » On continue les discussions. « Je le sens bien ce match, ça va le faire. »
Cela fait du monde en tribunes. C’est quand même chouette de voir autant de Granvillais faire le déplacement. Surtout, un samedi à 13 h. En plus, on est presque aussi nombreux qu’eux. C’est dire. »
Des encouragements sans interruption
12 h 55. Les joueurs vont bientôt entrer sur le terrain. Les mégaphones se mettent en marche. Ils sont deux à faire chauffer la tribune.
Allez, on se bouge. Nos joueurs vont avoir besoin de nous. Il faut qu’ils nous entendent. Vous êtes prêts ? Allez Granville, allez… »
Les chants s’enchaînent sans réel temps mort. Mais sur le terrain, l’équipe granvillaise se fait bouger. « On n’est pas dedans ! On n’arrive pas à aligner trois passes consécutives. » Granville va concéder un penalty pour une main dans la surface de réparation.
Oh, c’est quoi cet arbitre en carton ! Comment tu peux siffler ça ? »
Un penalty transformé d’une panenka. 1-0 pour Versailles après 13 minutes de jeu. « Allez, on continue à encourager. » Les chants reprennent de plus belle. « Aux armes ! »« Qui ne saute pas n’est pas Granvil…lais » Soudain, c’est l’explosion de joie. Lamrabette est lancé en profondeur et il conclut un beau mouvement collectif de Granville (1-1, 22e). « Oui, c’est bon ça ! »
#FCVUSG | 21' ÉGALISATION DE REDA LAMRABETTE !!!!!! IL MET LA DÉFENSE ADVERSE À TERRE (1-1)! #AllezGranville
La première période se poursuit. En tribune, chaque décision arbitrale est systématiquement commentée. « Oh l’arbitre, réveille-toi ! Tu siffles tout de travers. » A la mi-temps, les deux équipes sont à égalité 1-1.
On a fait le plus dur en revenant au score. C’est indécis, mais ça va pencher du bon côté. »
Le but de la délivrance
Le début de deuxième période est crispant. Avec notamment, une grosse occasion pour Versailles, mais la tentative du buteur versaillais passe à côté. « Attention aux pertes de balle. »« On n’y est pas. » Les chants ont beau se poursuivre toujours sur le même rythme, toujours avec la même intensité… Granville bute sur cette équipe de Versailles. Jusqu’à cette 71e minute. Lancé en profondeur, Mouaddib élimine le gardien adverse et marque dans le but vide. 2-1 pour Granville. La tribune prend feu.
#FCVUSG | 70' JAD MOUADDIB POUR LE BUT DU BREAK ❤️❤️! (1-2)#AllezGranville
Les Granvillais entonnent des « Gustave, Gustave ! » Les dernières minutes sont tendues. Malgré deux cartons jaunes et une ultime montée du gardien adverse, le coup de sifflet final libère tout le monde, déclenchant des scènes de liesse en tribune. Victoire (2-1). L’aventure en Coupe de France continue. « On est en 16es, on est en 16es… »« Merci Granville, merci Granville, merci. »« Qui ne saute pas n’est pas Granvil…lais. » Sitôt la fin du match, les joueurs et le staff viennent communier avec les supporters. Des chants, et même de beaux gestes comme ce maillot donné par Robin Théault à un jeune granvillais.
Avant cette nouvelle journée de Coupe de France de Football qui nous emmènera du cotée du FC Dieppe – Officiel (contre Angers SCO à 17H15), on profite de nouveau de la joie de Union Sportive Granvillaise (N2) après sa qualification sur la pelouse du Football Club de Versailles 78 (N3) 2-1
Publiée par Footnormand sur Dimanche 5 janvier 2020
« Rendez-vous dans 15 jours »
16 h. Le moment est venu de remonter dans les bus et de reprendre la route. En sortant du stade, nous apercevons des joueurs granvillais. Aussitôt, les écharpes sont de sortie et nous essayons de les appeler en tapant à la vitre. On s’arrête quand quelqu’un précise : « ça ne sert à rien, les vitres sont teintées, donc les joueurs ne vous voient pas ».
Avant de reprendre l’autoroute, nous passons devant le château de Versailles. « Waouh, qu’est-ce que c’est beau ! » Les premiers s’endorment rapidement, les autres trinquent à la santé de l’USG avec du rosé ou de la bière ou débriefent le match.
On n’a pas été grandiose, mais on a été efficace. C’est le plus important. »
[C'EST DANS LA POCHE]. La délivrance pour l'#USG qui décroche sa qualification pour les 16es de finale à l'issue d'un beau bras-de-fer face à #Versailles (2-1). Découvrez la célébration avec les #supporters de l'US #Granville. Belle communion. Ça valait bien le déplacement. #CDFpic.twitter.com/SV0yKBiX92
Les pronostics commencent pour l’adversaire des 16es de finale. « Ce serait bien de jouer enfin à la maison et d’avoir un gros. »Anthony, lui, se verrait bien repartir en déplacement. Pourquoi pas sur le terrain du Red Star !
Dans un stade mythique. Moi, j’aime bien les déplacements, car tu retrouves souvent les mêmes personnes. Ce sont les vrais supporters, ceux qui suivent l’USG toute l’année, qui sont présents. »
Peu avant Rouen, trois mini-bus klaxonnent en doublant les cars. « Ce sont les joueurs de l’USG, affirme Louis. On va faire une vidéo qu’on va leur envoyer. Vous êtes prêts ? » L’occasion de redonner de la voix pendant quelques minutes.
Ils ont déjà réagi. Les joueurs ont aimé. Ils ont mis des emojis avec des yeux en forme de cœur. »
Le reste du trajet est assez studieux. Jusqu’à l’arrivée aux abords de Granville, où une battle se lance entre l’avant et l’arrière du bus. « C’est à bâbord qu’on chante, qu’on chante… c’est à tribord qu’on chante, qu’on chante. » Le trajet se termine par un remerciement envers Yannick.
On veut le même chauffeur en 16es si jamais on joue à l’extérieur. On t’aime Yannick. »
Et les supporters entonnent un « Merci Yannick, merci Yannick, merci… », avant un ultime « On est en 16es, on est en 16es. » 20 h 30. Nous descendons du bus. Avant de se séparer, on se salue et on me dit : « à dans 15 jours pour le 16e de finale ». Le rendez-vous est pris.
Ce dimanche 5 janvier 2020, cela fait un mois jour pour jour que la première grève générale contre la réforme des retraites a eu lieu.
« Notre priorité : mobiliser pour la semaine prochaine »
Samedi 4 janvier, dans l’après-midi, la première manifestation de 2020 a eu lieu à Caen (Calvados) et environ 400 opposants à la réforme ont défilé en centre-ville. Une lutte qui n’a pas connu de trêve durant les vacances scolaires, entre manifestations et actions de blocage. Comme le précise Bérangère Lareynie, déléguée syndicale de Solidaires Calvados :
On avait dit avant les vacances qu’il n’y aurait pas de trêve pendant les fêtes de fin d’année. Il y a eu des actions quasiment tous les jours. Notre priorité est également de mobiliser pour la semaine prochaine.
Une action matinale dès ce lundi 6 janvier ?
Dès ce lundi 6 janvier, un premier rendez-vous est donné à 4h40 à l’atelier des cheminots à Caen. Une action matinale pourrait avoir lieu selon les échanges entre grévistes. Chaque matin, à 9h30, une assemblée générale interprofessionnelle aura lieu à l’atelier des cheminots. « Tous les salariés grévistes sont invités à venir pour évoquer la suite du mouvement à donner ».
Mardi 7, un rassemblement est prévu à 13h place Bouchard à Caen, à l’appel des personnels de l’éducation du Calvados en grève. Suivra le jeudi 9 janvier la journée de grève et de mobilisation nationale. « Nous avons conscience que ce qui est à l ‘œuvre avec les politiques actuelles, c’est la destruction, pas à pas, de notre modèle social », précisent les organisations syndicales.
Manifestations à Caen jeudi 9 et samedi 11 janvier
Le rassemblement est prévu à 10h30, place Saint-Pierre, à Caen le 9 janvier. Il sera suivi d’un forum interprofessionnel qui aura lieu à 15h à la maison des syndicats (rue Colonel Remy) pour que les secteurs en grève échangent. Samedi 11 janvier, le rendez-vous d’une nouvelle manifestation est fixé à 14h30 devant le Monoprix à Caen. D’autres actions des opposants à la réforme pourraient également avoir lieu à d’autres moments de la semaine.
Vingt-neuf personnes ont perdu la vie sur les routes du fenua en 2019.
Un bilan un peu moins lourd qu’en 2018 qui faisait état de 36 morts. « Si le nombre d’accidents et de blessés a baissé en 2019, le nombre de tués reste trop élevé », indique le haut-commissariat, auteur du bilan annuel de la sécurité routière.
La moitié des accidents mortels sont liés à la consommation d’alcool, 62 % sont dus à une vitesse excessive ou inadaptée et 8% à la consommation de stupéfiants. Par ailleurs, la majorité des accidents mortels (54 %) ont lieu entre 18h00 et 6h00 du matin.
En 2019, 45 % des victimes étaient des deux-roues, 72 % étaient des hommes. Le haut-commissariat précise aussi que 24 % des victimes avaient moins de 25 ans. Enfin, 14 % étaient des piétons.
Il n’y aura pas de Japon-France à Tokyo cet été. Un temps envisagée le 18 juillet prochain, la rencontre ne figurera pas au planning du XV de France, dont la saison se finira bel et bien le 11 juillet. La Fédération Japonaise avait invité les Bleus pour un ultime match, mais cela est techniquement impossible.
Midi Olympique rapporte que la Fédération Japonaise s’est confondue en excuse, celle-ci ayant rapporté que les infrastructures de la ville ne pouvaient pas êtres utilisées à ce moment-là en raison des Jeux Olympiques, qui débuteront le 24 juillet à Tokyo.
Au Japon finalement en 2021
La France, qui n’a jamais joué un match officiel contre les Brave Blossoms sur leur sol, devra attendre l’été 2021 afin d’y remédier. Il y aura même deux rencontres au menu pour les hommes de Fabien Galthié.
Cet été, après une année de Coupe du monde, le XV de France ne disputera finalement que deux rencontres face à l’Argentine. Les dates sont connues, les 4 et 11 juillet, mais pas les lieux. Ce n’est qu’après ce voyage en Amérique du Sud que les Tricolores pourront envisager leurs vacances estivales.
L’aventure du FC Dieppe en coupe de France est désormais terminée. Dans son 1/32e finale, la formation de Guillaume Gonel a subi la loi du SCO Angers qui a fait preuve de sérieux et d’application pour faire prévaloir son avantage hiérarchique de quatre divisions (Ligue 1 contre National 3). Battus 1-3, les petits dieppois ont pris date pour l’avenir.
Le FC Dieppe s’aligne dans un dispositif en 4-5-1 (déclinable en 4-3-3) avec un onze de départ identique à celui qui avait éliminé le RC Lens (2-1). Le coach maritime a bien préparé son affaire en alignant une équipe visant à contenir la maîtrise technique angevine. Mais le pensionnaire de Ligue 1 a eu fort à faire durant cette confrontation.
L’entame de match est plutôt à l’avantage de nos représentants qui investissent le camp angevin durant les cinq premières minutes de la partie. On voit ainsi Chombart être lancé puis Friboulet prendre l’espace sur le côté gauche pour pénétrer dans la surface de réparation. Il ne parvient pas à délivrer la passe décisive.
Forcément, le SCO Angers réplique avec une première frappe qui n’est pas cadrée (6e). Puis, un coup franc visiteur ne donne rien (9e) avant que Robichon prenne le côté gauche et centre sur Capelle qui échoue sur Guichaux (11e). Les Angevins poussent et le public dieppois donne enfin de la voix pour soutenir ses protégés.
Le FCD dans un moment fort
La formation dieppoise est vraiment bien en place et les joueurs de l’élite ne parviennent pas à forcer la décision. Même lorsque Fulgini trouve parfaitement Capelle, la frappe enroulée de ce dernier passe de peu à côté (26e). Le FCD a su laisser passer l’orage et il se crée une magnifique occasion après la demi-heure de jeu : Hénoc place une terrible accélération sur 30 mètres et rentre dans la surface pour frapper du gauche mais Petkovic est à la parade (32e).
Le FCD est dans un moment fort et Friboulet se met encore en évidence, sans parvenir à donner le ballon décisif (33e). La fin de la première période s’achève avec deux interventions déterminantes de Franqueville puis Michel dans les airs. Enfin, une lourde frappe de 22 mètres de Bahoken permet à Guichaux de s’illustrer (44e).
Les Dieppois tiennent la dragée haute aux Angevins et ils ont même l’occasion de faire basculer la rencontre à leur profit en début de deuxième période : Friboulet trouve Etamé qui parvient à se mettre en position de tir mais sa frappe de 14 mètres est captée par Petkovic (54e).
Etamé marque de la tête
Angers reste menaçant avec une frappe de Thomas qui s’écrase sur la barre transversale de Guichaux (62e). C’est le même Thomas qui ouvre le score d’une reprise de la tête consécutive à un corner frappé de la droite (0-1, 67e). Le FCD vient de prendre un gros coup derrière la tête d’autant que Capelle se présente seul devant Guichaux et l’ajuste (0-2, 83e).
Pas de quoi décourager des Dieppois vaillants comme jamais : Hénoc s’arrache sur son côté gauche et obtient une touche qu’il joue rapidement pour Garnier, lequel centre sur la tête de Etamé qui saute plus haut que tout le monde (1-2, 85e). Le FCD y croit de nouveau et tout un peuple avec lui. L’exploit reste possible jusqu’à ce dernier centre conclu par la reprise de Capelle sous la barre (1-3, 90e+3).
Le SCO Angers fait respecter la logique mais ce FC Dieppe quitte cette coupe de France en héros. Malheureusement, toutes les meilleures choses ont aussi une fin !
Les pompiers du Jura sont de nouveau mobilisés, ce dimanche 5 janvier 2020, pour un accident qui s’est produit, peu après 21 heures sur la RD 1083, commune de Darbonnay, au niveau du rond-point de l’autoroute.
Les secours font état de huit impliqués. L’hélicoptère Dragon 25 est engagé. Attention, la circulation est pour l’heure très perturbée sur cet axe.
Cheslin Kolbe ? Non. Gaël Fickou ? Non plus. Celui qui a été le roi de ce Clasico entre le Stade Français et le Stade Toulousain, ce fut indéniablement le troisième ligne parisien Sekou Macalou. Il a été le grand artisan du succès de son équipe (30-18), qui n’est plus lanterne rouge du Top 14.
À trois jours seulement de l’annonce de la liste des 42 joueurs du XV de France retenus pour le Tournoi des Six Nations, l’international (24 ans ; 1 sélection) s’est rappelé au bon souvenir du sélectionneur, lui qui a été mis au placard depuis la fameuse sortie nocturne à Edimbourg (Ecosse) en 2018.
Un doublé face au Stade Toulousain
Auteur d’une saison de très haut vol l’an passé, Macalou est l’un des rares Parisiens au niveau depuis le début de l’exercice 2019-2020, marqué par l’éviction de l’entraîneur Heyneke Meyer. Le troisième ligne a confirmé sa très grande forme face au Stade Toulousain, en inscrivant notamment un doublé. Son accélération face au centre toulousain Pita Ahki sur sa seconde réalisation a tout simplement été sensationnelle. Défensivement, son endurance lui a permis de colmater un nombre incalculable de brèches. En touche, il a régné. Bref, une copie XXL.
Sur les réseaux sociaux, les louanges ont été nombreuses à son égard. Certains en appellent même à son retour en équipe de France. Réponse ce mercredi…
Macalou quel monstre, si il est pas dans la liste de Galthier ça sera pas sportif. Si il n’y ai pas c’est qu’il a fait une grosse connerie quand il etait en equipe de france… genre à Edimbourg… #SFPST
Pour la première fois, la finale du concours de beauté Miss Élégance France fait escale à Dieppe (Seine-Maritime). La cérémonie aura lieu le 25 janvier 2019, à 20 h 30, au théâtre du casino. Elle sera présentée par Danièle Gilbert et retransmise en direct sur la page Facebook du comité organisateur. « En tout, dans l’année, nous organisons 50 à 70 élections, souligne Eddy Lefaux, le président du comité Miss Élégance France. Les primaires débutent en mars ».
20 candidates
Vingt régions seront donc représentées le jour J sur la scène du casino de Dieppe. Selon l’organisateur un vrai show se prépare pour un spectacle de 2 h 30 composé de cinq tableaux : trois passages où les jeunes candidates seront au complet et défileront en robe et maillot de bain « une pièce », précise Eddy Lefaux ; au quatrième passage, elles seront dix habillés d’une robe de soirée plus travaillée.
Et enfin, au dernier passage, les cinq dernières candidates seront en tenue d’apparat pour découvrir laquelle d’entre elles portera l’écharpe de miss. Les votes électroniques comptent pour 50 % du résultat final comme le précise le président du comité Miss Élégance France :
« Jusqu’au 23 janvier, tout le monde peut voter par sms pour sa candidate préférée au 71 717 (0,75 €). »
Le jury devrait être composé d’au moins cinq personnes « dont trois ou quatre people », dit Eddy Lefaux. Il pense à des personnes comme Magloire ou Bernard Montiel.
Des valeurs
En attendant samedi 25 janvier, les miss vont bénéficier d’une semaine de préparation au Domaine de Forges, à Forges-les-Eaux. Elles seront initiées à la danse par une chorégraphe et photographiées par Erick Gey qui a travaillé de nombreuses années pour Geneviève de Fontenay.
D’ailleurs, Eddy Lefaux était également un proche de la dame au chapeau pour qui il a fait la communication pendant quatre ans. Alors pourquoi avoir quitté Miss Prestige National et s’être lancé seul en 2016 ? Il répond :
Le hasard ! Ça n’allait plus avec Geneviève de Fontenay, certaines valeurs n’étaient pas respectées.
Mais lesquelles exactement ? Eddy Lefaux revendique un modèle associatif sans but lucratif. Le prix de l’entrée servirait à payer les frais du concours et « on ne vend rien derrière », ajoute-t-il.
Le président du comité en appelle aussi « aux valeurs de l’élégance à la française et la mise en valeur du patrimoine des 20 régions de France », poursuit-il avant de lancer :
C’était ça à la base les concours de miss mais plus personne ne le fait. Aujourd’hui, être Miss France, c’est juste aller faire des dédicaces chez Leclerc.
En 2019, « sa miss », Charlotte Gavard, a été reçue au Sénat mais aussi par des éleveurs au salon de l’Agriculture. Elle était présente à chaque élection de miss en région organisée par le comité Miss Élégance France et a participé elle-même à plusieurs concours internationaux notamment au Monténégro.
Cette année, Mathilda Déchamps, originaire du secteur d’Yvetot, représentera la Normandie le 25 janvier au casino de Dieppe. Comme toutes les autres candidates, elle a moins de 26 ans et mesure plus d’1 m 65 : « Il s’agit de la taille moyenne des Françaises, c’est logique de le prendre en compte. » Encore un point sur lequel Eddy Lefaux a voulu se démarquer.
Jusqu’au 23 janvier, vous pouvez voter par sms pour votre candidate préférée au 71717 (0.75€) en tapant le numéro indiqué pour chacune d’elle. Pour la soirée du 25 janvier 2020, les billets peuvent être retirés dans les centres Leclerc, Cultura et Auchan ou sur le site internet www.ticketmaster.fr
La Longue Chasse, route très fréquentée qui relie Tollevast à Hardinvast et Martinvast, est fermée à la circulation en ce moment même. Ce lundi 6 janvier 2020, un violent choc frontal entre deux véhicules s’est produit peu avant 18 heures.
Un important dispositif de secours a été engagé sur place pour porter secours aux passagers avec une trentaine de sapeurs-pompiers de Cherbourg, Tourlaville, Bricquebec et La Hague. Les quatre véhicules de secours et d’assistance aux victimes (VSAV) du centre de secours de Cherbourg ont été engagés.
Un médecin, une infirmière et une équipe du SMUR sont présents sur les lieux de l’accident.
Cinq victimes à déplorer, dont 2 en urgence absolue
Selon les premières informations, 5 victimes sont à déplorer et 2 ont dû être désincarcérées par les sapeurs-pompiers, gravement blessées.
Une femme de 56 ans, une autre de 36 ans et un homme de 30 ans sont en état d’urgence relative. Deux autres personnes se trouvent dans un état d’urgence absolue : une femme de 22 ans et un enfant de 3 ans, pris en charge sur place par une équipe du SMUR.
Toutes les victimes ont été transportées à l’hôpital Pasteur.
Année d’élections municipales oblige, les élus étaient nombreux – plus du double de l’année précédente -, ce lundi 6 janvier 2020 dans les salons de la préfecture du Jura, pour assister aux vœux de son principal locataire, Richard Vignon. Un préfet qui, face à la morosité ambiante, a tenu à adresser des vœux teintés d’optimisme aux élus et représentants des différents corps.
« Les points de satisfactions sont nombreux : économique tout d’abord, avec un chiffre d’affaire général en hausse de 4,8 % ; au niveau du chômage ensuite, nous avons un des taux les plus bas de France, avec 6 % de chômeurs » a commencé par énumérer le préfet, et de poursuivre, tour à tour, « concernant l’intégration des réfugiés, le Jura fait figure de modèle, et ce, grâce au travail des services sociaux, des communes et du Conseil Départemental ; concernant la société, nous devons faire en sorte qu’elle soit toujours plus égalitaire, et principalement concernant le respect des droits des femmes. »
Prenant consciemment l’assistance de surprise, Richard Vignon a ensuite salué l’investissement de deux corporations inattendues, dans le respect de la protection de l’environnement et de la biodiversité :
« Nos agriculteurs, tout d’abord, qui dans le Jura font de réels efforts, quoi qu’en disent certains activistes ; et les chasseurs, qui gèrent nos ressources et participent à leur équilibre », et de préciser, « mais également les associations de défense de l’environnement, qui doivent continuer leur travail, par le dialogue et l’ouverture d’esprit. »
Et face à l’assistance des nombreux maires et conseillés municipaux présents pour ces vœux édition 2020, le préfet de conclure par « un hommage à [leur] égard pour [leur] engagement. Je sais les nombreux sacrifices que vous faites, la patience que vous avez, surtout pour vous les maires ruraux. Trop de gens aujourd’hui face à vous se comportent comme des clients et non comme des citoyens. »
Puis de conclure par une citation de Blaise Pascal, tel un conseil donné à l’ensemble de l’assistance : « Le pessimisme est affaire d’humeur, l’optimisme est affaire de volonté. »
Samedi 4 janvier 2020, vers 11 heures du côté de Champs-sur-Tarentaine, un homme de 32 ans, originaire du Cantal a été interpellé alors qu’il roulait sous l’emprise de cocaïne. Son véhicule n’était pas à jour du contrôle technique et il avait également un pneu lisse.
Le même jour, vers 18h30 à Mauriac, un homme de 52 ans, originaire du Cantal, a été contrôlé avec 0.82 g/l ainsi qu’un conducteur de 82 ans qui lui avait 0,86 g/l. Leur permis a été retiré.
Le dimanche 5 janvier 2020, du côté de Valette vers 11h40, un automobiliste de 21 ans a été contrôlé avec 0,92 g/l, sous l’emprise de cannabis et a refusé d’obtempérer. Son permis lui a été retiré.
À compter de ce mardi 7 janvier 2020, le prix du carburant au Luxembourg va une nouvelle fois augmenter, a annoncé le gouvernement luxembourgeois dans un communiqué officiel lundi. D’après le quotidien L’Essentiel, il s’agit de la hausse tarifaire la plus importante depuis juillet 2014.
Rendez-vous fixé par EELV -Europe Ecologie-Les Verts- ce lundi sur le site bucolique du futur quartier Cambacérès, aux portes Est de Montpellier, pour une conférence de presse…
Clothilde Ollier, la tête de liste des Verts a présenté le nouveau mouvement lancé par son parti pour les élections municipales. Exit, donc, l’ancien slogan « L’écologie en grand » et place à « l’écologie en commun ».
Des Insoumis à Génération.S
Un changement qui traduit une légère inflexion de la campagne électorale : EELV a choisi le rassemblement pour conforter ses chances de victoire.
Les Verts sont ainsi officiellement rejoints pour les Radicaux de Gauche, Génération Ecologie, le collectif Confluence (composé d’Insoumis), le parti animaliste et « Génération.S », le mouvement de Benoît Hamon.
Une dynamique à laquelle participent également des représentants la société civile qui se distinguent par leur action dans le tissu associatif. Comme François Vasquez, président de l’association des riverains de la zone Garosud, qui dénonce les dysfonctionnements de l’usine de méthanisation Améthyst, ou encore une figure montpelliéraine, Frédéric Gal, directeur général du Refuge, qui veut agir contre l’homophonie et l’exclusion.
Cette liste de rassemblement, qui n’est pas qu’une liste de gauche, est ouverte à tous ceux qui veulent reconstruire Montpellier par l’écologie
« L’Écologie en commun » sera désormais le nom de la dynamique locale impulsée par EELV, mais la tête de liste, Clothilde Ollier, rassure son électorat : « Notre programme ne varie pas et reste ancré sur ses trois piliers : l’écologie, l’économie locale et la justice sociale…Cette liste de rassemblement, qui n’est pas qu’une liste de gauche, reste ouverte à tous celles et ce ceux qui veulent faire de l’écologie la priorité pour reconstruire Montpellier ».
Le directeur de campagne d’EELV, Manu Reynaud, clarifie la situation : « Nous lançons ce mouvement pour rassembler les acteurs de l’écologie montpelliéraine qui apportent leur soutien à EELV, mais il ne s’agit pas pour l’heure d’une constitution de liste », précise-t-il : « La liste est complètement ouverte jusqu’au 31 janvier… Nous n’avons pas encore discuté des éventuelles places des uns et des autres, nous n’en sommes pas là ».
Je suis là. Je suis le porte-parole d’EELV et, par ma présence, je suis garant que la ligne écologiste sera suivie – Manu Reynaud
Le directeur de campagne se borne à évoquer pour l’heure un « simple soutien » et annonce un grand rendez-vous début février : « Europe Ecologie Les Verts organisera alors une assemblée générale et nous évoquerons tout cela ». Et aux rumeurs qui évoquent son départ d’EELV, Manu Reynaud (qui ne serait pas favorable au rassemblement avec d’autres partis) réplique : « Je suis là. je suis le porte-parole d’EELV et, par ma présence, je suis garant que la ligne écologiste sera suivie ».
> Cambacérès, symbole de l’aberration écologique
Pour lancer leur mouvement « L’Écologie en commun », les Verts ont convoqué la presse sur le site qui doit accueillir la future ZAC du quartier Cambacérès, sur une vaste zone située face à la nouvelle gare Sud de France et coincée entre les deux autoroutes. Pour Clothilde Ollier, le choix de ce site n’est pas du au hasard.
« Ce site symbolise le manque de considération général des enjeux liés à l’écologie », explique-t-elle : « Ce site est celui où l’air est le plus pollué de tout Montpellier, mais c’est ici que Jean-Pierre Moure et Philippe Saurel, les deux derniers présidents de la métropole de Montpellier, veulent construire un nouveau quartier. C’est une aberration… Je confirme que si nous sommes élus, l’urbanisation de cette zone sera abandonnée ».
La tête de liste d’EELV rendre le site à la nature et à l’agro-écologie entend : « Et nous reprendrons les discussions avec la SNCF pour que les TGV continuent d’arriver à la gare Saint Roch », précise-t-elle, un œil braqué sur la nouvelle « gare fantôme ».
Au lendemain de la mise à pied de l’entraîneur Antoine Kombouaré, Olivier Sadran, président du club, a tenu une conférence de presse lundi 6 janvier 2020 pour évoquer la très difficile situation du Toulouse football club depuis le début de la saison. Un président un brin désabusé sur le monde du football mais qui reste combatif pour sauver son club.
Lanterne rouge de la LIgue 1, les Violets viennent en effet de sombrer dans l’humiliation samedi 4 janvier 2020, éliminés par Saint-Pryvé Saint-Hilaire (Loiret) un club de Nationale 2, l’équivalent de la 4e division. La dixième défaite d’affilée pour le Toulouse football club cette saison, toutes compétitions confondues.
Comme cela avait été annoncé dimanche, Olivier Sadran a confirmé la nomination de Denis Zanko, jusqu’ici directeur technique du centre de formation, au poste d’entraîneur.
Olivier #Sadran confirme que Denis #Zanko sera l'entraîneur du #TFC jusqu'à la fin de la saison : "il connaît l'effectif et il y a une urgence. C'est la solution la plus efficace". pic.twitter.com/8Kl9tvVDa4
« Sans doute la pire situation qu’a connue le club »
Evoquant la situation du club, qu’il juge « catastrophique, sans doute la pire que le club a connu depuis son rachat en 2001 », le président du TFC a souligné :
On pourrait faire une liste longue comme un jour sans pain des problématiques qui sont les nôtres. On est entré dans une médiocrité depuis 3 à 4 ans et nos solutions ne fonctionnent pas.
Sur la situation catastrophique du club : "l'audit qu'on a fait il y a un an et demi n'est pas le bon. Cela fait 3 ou 4 ans que nous sommes installé dans une médiocrité. Et nos solutions ne fonctionnent pas…", constate Olivier #Sadran, le président du #TFC. pic.twitter.com/mXDwl9ZgMi
Le président du TFC a listé quelques raisons de la déroute du club toulousain : la perte de confiance des joueurs « pas assez forts mentalement », l’avalanche de blessures de joueurs sur des postes ciblés, mais aussi le manque d’effort de certains :
"Le football a changé et l'on ne s'est pas adapté…Les joueurs ont beaucoup évolué et des clubs moyens se retrouvent dans une situation complexe". Constat un brin désabusé d'Olivier Sadran sur le football français et son environnement. #TFCpic.twitter.com/Z71dVVDFh3
Le président du club est aussi revenu sur son discours aux joueurs dans les vestiaires après le match perdu de samedi.
"Tout le monde devra assumer en fin de saison. Nous verrons si nous pouvons monter en Ligue 1 en mai car pour l'heure, nous sommes 20e et donc en ligue 2". Voici ce qu'a dit Olivier #Sadran à ces joueurs à la mi temps du match de coupe de France…#TFCpic.twitter.com/mhL5AN05uH
Oliver Sadran a aussi fait son mea culpa : « je n’ai pas pris les bonnes décisions » avant de préciser qu’il assumerait son rôle jusqu’au bout, précisant que sa démission n’était pas à l’ordre du jour.
En tant que seul actionnaire du club il s’est dit garant de sa pérennité dans le football professionnel et de l’ensemble des 150 salariés qui y travaillent. Tout en précisant qu’il était ouvert à 100% à l’arrivée d’un actionnaire qui prendrait les commandes du club à sa place où qui rentrerait minoritairement dans l’actionnariat pour l’aider dans ses fonctions.
Olivier #Sadran se dit "touché" par la situation du club et se dit ouvert à l'arrivée "d'un actionnariat tiers". Voici ses propos sur l'hypothèse dune vente du club à moyen terme. #TFCpic.twitter.com/dlIQzzRVmi
Il a aussi évoqué la pression qui pèse sur les entraîneurs aujourd’hui précisant que le club avait voulu miser sur le jeu pour attirer le public mais que « cela avait sans doute été une erreur» :
Il faut sans doute revenir à un jeu plus restrictif, une meilleure défense pour obtenir un maintien en fin de saison
Olivier Sadran a aussi listé des pistes pour remonter la pente : redonner confiance aux joueurs, apporter un schéma de jeu stable, apporter un supplément d’âme à l’équipe, éviter « d’être mort de trouille dans les dix dernières minutes d’un match et être concentrés dans les dix premières».
Mercato d’hiver
Il a enfin annoncé l’arrivée à court terme de nouveaux renforts :
Sur le #mercato d'hiver :"Olivier #Sadran annonce d'autres arrivées. "Il faut du sang neuf, reconstruire une défense central pour mieux défendre. C'est le seul moyen de rester en ligue 1". Et précise qu'il faudra éviter des erreurs de casting comme celles d'Imbula et Mbia. #TFCpic.twitter.com/vG70qqIiQJ